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Kathleen C. Durand obtient une bourse de recherche de l’Ordre des ergothérapeutes du Québec

Kathleen C. Durand, professeure clinicienne au Département d’ergothérapie de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a obtenu une bourse de l’Ordre des ergothérapeutes du Québec pour la réalisation d’un projet de recherche terrain. Son projet est axé sur la propension des enseignants à identifier les élèves à risque d’accuser un retard dans leurs habiletés motrices préscolaires.

Alain Bibeau, PDG de l’Ordre des ergothérapeutes du Québec, Kathleen C. Durand, professeure clinicienne, UQTR,  Noémi Cantin, directrice de recherche, UQTR et Martine Brousseau, directrice du Département d’ergothérapie. (Photo Catherine Roberge)

Alain Bibeau, PDG de l’Ordre des ergothérapeutes du Québec, Kathleen C. Durand, professeure clinicienne, UQTR, Noémi Cantin, directrice de recherche, UQTR et Martine Brousseau, directrice du Département d’ergothérapie. (Photo Catherine Roberge)

Mme Durand a obtenu cette reconnaissance à l’occasion du colloque de l’Ordre des ergothérapeutes du Québec, le 2 octobre dernier.

Lorsqu’elle était ergothérapeute clinicienne en milieu scolaire, Mme Durand avait observé que de bien reconnaître la qualité des habiletés motrices des enfants était un élément intriguant pour les enseignants. Elle a donc décidé de partir de cette idée pour développer un protocole de recherche dans le cadre de son mémoire en éducation à l’UQTR.

Ce projet de recherche a été réalisé sous la supervision de Nancy Gaudreau, qui à l’époque était professeure au Département des sciences de l’éducation, et de Noémi Cantin, professeure au Département d’ergothérapie.

Au cours de sa recherche terrain, Mme C. Durand a réalisé un projet d’accompagnement auprès d’enseignants au préscolaire, à la Commission scolaire de l’Énergie. Sa démarche visait à habiliter les enseignants dans l’identification des élèves à risque d’accuser un retard de leurs habiletés motrices préscolaires. Dans un deuxième temps, il visait aussi à outiller les enseignants dans la mise en place de stratégies en classe auprès des élèves favorisant l’acquisition de celles-ci.

«Cette étude a été menée auprès de 15 enseignants issus de 7 écoles. Au chapitre des retombées, les chercheurs ont constaté chez les enseignants un sentiment d’efficacité personnelle pour faire face aux défis posés par l’acquisition des habiletés motrices de leurs élèves. Le Département d’ergothérapie se compte chanceux d’avoir dans son équipe une personne avec cette expertise», a conclu Martine Brousseau, directrice du Département d’ergothérapie de l’UQTR.