Une nouvelle aide pour l’internationalisation de la recherche

Les professeurs de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) peuvent désormais compter sur le tout nouveau Programme d’aide à l’internationalisation de la recherche (PAIR) comme levier pour obtenir du financement externe dans le cadre de projets internationaux de recherche. Le programme, qui a été mis en place avec l’effort conjugué du Bureau de l’international et du recrutement (BIR), du Décanat de la recherche et de la création (DRC) ainsi que de la Fondation de l’UQTR, représente une source de financement pouvant atteindre 15 000 dollars par année par projet pour une durée maximale de deux ans.

Patrick Razakamananifidiny, conseiller en développement international au Bureau de l’international et du recrutement, Sébastien Charles, doyen de la recherche et de la création et Daniel Milot, directeur général de la Fondation de l’UQTR.

Cette nouvelle initiative arrive à point nommé dans un contexte où l’accélération de la mondialisation a radicalement modifié le paysage de la recherche. Aujourd’hui, les défis posés à nos sociétés modernes sont devenus pour la plupart internationaux et requièrent la mobilisation de chercheurs de plusieurs universités dans différents pays. À travers le PAIR, l’UQTR se donne donc les moyens d’accroître ses collaborations internationales en recherche, de valoriser son expertise dans ses créneaux d’excellence et, par voie de conséquence, d’augmenter son rayonnement et son pouvoir d’attraction internationaux.

Comme le souligne Sébastien Charles, doyen de la recherche et de la création, «les professeurs qui présenteront des projets dans le cadre du PAIR devront démontrer qu’ils sont en mesure de s’inscrire dans un réseau international incluant financement, étudiants et résultats de recherche communs. De fait, en plus de contribuer à positionner l’UQTR sur la carte de la recherche internationale, chaque dollar investi grâce au programme PAIR contribuera en définitive à bonifier les fonds propres de l’UQTR et à accroître la visibilité de la recherche qui se mène en nos murs.»