En-tête

Bonjour à vous tous,

Profitant de Noël, à l’aube d’une année nouvelle,
nous voulons vous souhaiter,
à toute la grande équipe du (RÉ)SO 16-35
santé, bonheur et prospérité.

Pour l’occasion, nous vous offrons en cadeau la parution de notre toute première infolettre du (RÉ)SO 16-35.

Le partage étant une valeur de Noël, nous vous invitons à partager cette infolettre dans l’ensemble de vos réseaux.

Que l’année 2021 soit couronnée de succès!
Joyeuses Fêtes

Natacha Brunelle et Daniel Bellemare

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Le (RÉ)SO 16-35 reçoit le prix Michel Landry


Le Prix partenariat - Michel Landry est remis conjointement par le RISQ et l’AIDQ et souligne la contribution exemplaire d’un partenariat recherche-intervention à la mobilisation des connaissances, à l’élaboration de nouvelles approches ou à la bonification des interventions dans le champ de la toxicomanie. Ce partenariat doit avoir impliqué un chercheur ou un groupe de chercheurs réguliers du RISQ, un étudiant membre du RISQ ou un milieu d’intervention. Ce prix souligne aussi l’implication de la Maison Radisson. Le prix a été remis le 17 décembre 2020 à la directrice scientifique du (RÉ)SO 16-35 Natacha Brunelle et à son directeur communautaire Daniel Bellemare, lequel est aussi directeur général de la Maison Radisson. Félicitations!

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La surreprésentation judiciaire et pénale des Autochtones

Parution d'un abrégé de recherche -
Octobre 2020

 

Les Premières nations et Inuit sont surreprésentés dans le système de justice pénale.
En 2016-17, les adultes autochtones représentent 30 % des admissions alors qu’ils ne représentent que 4,1 % de la population adulte. (SCC, 2017). La surreprésentation touche en particulier les Inuit (61 ‰), les Innus (19 ‰) et les Algonquins (16 ‰). (Chéné, 2018). En comparant la victimisation et les accusations des allochtones et des Autochtones, on constate un écart majeur.

Consulter l’abrégé de recherche.

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Le mug shot au cœur d’un tableau vivant

Présentée sur le site web du Musée POP et sur YouTube, l’œuvre exploite l’image de la photographie d’identité judiciaire. Cette photo, communément appelée mug shot, se retrouve au dossier criminel et marque un nouvel épisode dans la vie des personnes judiciarisées en devenant, par extension, leur nouvelle identité.

Visionner le Tableau vivant

Consulter les entrevues réalisées dans le cadre de ce projet

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Conférences disponibles sur le

site Internet du (RÉ)SO 16-35

Stephen FARRALL, Research Professor in Criminology, College of Business, Law and the Social Sciences, The University of Derby, and Honorary Chair in Criminology, University of Sheffield.

Patrick LUSSIER, Ph.D., Professeur, École de travail social et de criminologie, Faculté des sciences sociales, Université Laval, Chercheur régulier au CICC.

Consulter les présentations virtuelles d'affiches étudiantes ainsi que plusieurs autres conférences au www.reso1635.ca

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À venir...
Conférence-midi

9 février 2020
12h00 à 13h00

Les services en dépendance du point de vue des personnes judiciarisées de 16 à 35 ans
Co-organisée avec le (RÉ)SO 16-35 et l'Institut universitaire sur les dépendances

  

• Quel est le vécu des personnes judiciarisées dans les services en dépendances?

• Qu'est-ce que les personnes judiciarisées savent et pensent des collaborations entre les services?

• Quels conseils fournissent les personnes judiciarisées aux intervenants en dépendance?

S'inscrire à la conférence

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Des nouvelles de la recherche

Projet 1A : (Ré)intégration sociocommunautaire : Point de vue des jeunes judiciarisés de 16 à 35 ans

L’équipe d’interviewers du (RÉ)SO 16-35 a débuté la deuxième vague d’entretiens auprès des mêmes jeunes judiciarisés de 16 à 35 ans qui ont été rencontrés au Temps 1 de la recherche. Ces jeunes proviennent des régions de la Mauricie-Centre-du-Québec, de Montréal et de Québec et sont contactés à partir des coordonnées qu’ils nous ont fournies lors du premier entretien.  

Les objectifs de ce projet de recherche sont de connaître leur point de vue sur leur parcours et sur les services qu’ils ont reçus parallèlement à leur contact avec le système judiciaire ou correctionnel (ex. ce qui a été aidant, les obstacles, leur expérience, leurs recommandations, etc.).  Ce projet conduira à l’implantation d’un projet pilote d’actions intersectorielles dans le but de mieux répondre aux besoins des personnes judiciarisées âgées de 16 à 35 ans. De plus, avec l’actuelle crise sanitaire que cause la COVID-19, nous aimerions connaitre les répercussions de cette situation exceptionnelle dans leur vie.

Des données préliminaires de ce premier projet seront dévoilées dès 2021!

Projet 2A et 2B : Analyse de réseau et cartographie conceptuelle des prestataires de service

À la suite de nos entretiens avec les jeunes judiciarisés, l’équipe du (RÉ)SO 16-35 veut savoir notamment avec qui et comment les intervenants des différents secteurs (santé mentale, la toxicomanie, les services correctionnels, la justice, etc.) travaillent ensemble. De plus, elle veut identifier ce qui, du point de vue des différents intervenants, favorise et ce qui fait obstacle à l’action intersectorielle.

Pour ce faire, l’équipe recherche sollicite présentement la participation des différents intervenants qui travaillent auprès des jeunes judiciarisés dans les régions de la Mauricie–Centre-du-Québec, de Montréal et de Québec. Ceux-ci recevront au cours des prochains mois successivement trois questionnaires en ligne qui prendront respectivement 30, 15 et 30 minutes à remplir, au moment qui le conviendra le mieux. Les données recueillies serviront notamment à développer et mettre en pratique un projet pilote d’actions intersectorielles visant à répondre aux besoins des jeunes judiciarisés.

Vous désirez participer ou avoir plus amples informations? Communiquez avec la coordonnatrice, Geneviève Garceau au reso1635@uqtr.ca.

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