Février 2021

Le Bulletin de la recherche propose des nouvelles portant sur la vie scientifique de l'UQTR. Il est diffusé tous les mois à l'intention des chercheurs et des abonnés ayant un intérêt pour les activités de recherche de l'Université.

Dans cette édition

Octrois de recherche

François Nougarou obtient une subvention du programme Nouvelles frontières en recherche

Le professeur François NOUGAROU du Département de génie électrique et informatique obtient une subvention de recherche de 237 000 dollars du fonds fédéral Nouvelles frontières en recherche - volet Exploration, pour réaliser le projet Comment duper le cerveau pour réadapter les victimes d’AVC ? Développement de dispositifs innovants basés sur l’illusion et la reconnaissance de mouvements. Ce projet vise à concevoir un système intelligent destiné à un usage clinique, qui permet de créer une illusion de mouvements complexes dans le bras paralysé de patients victimes d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). Cette illusion de mouvements, qui nécessite la conception conjointe d’un système de vibration innovant et de méthodes d’intelligence artificielle basées sur des signaux d’activité musculaire et d’activité cérébrale, a pour but de tromper le cerveau en lui faisant croire que le bras paralysé est toujours en mouvement. Cela permettra de limiter la désertion de la zone du cerveau liée aux fonctions motrices du bras atteint et ainsi de faciliter la réadaptation du patient. Ce projet interdisciplinaire en ingénierie biomédicale est réalisé en collaboration avec le cochercheur principal du projet Louis-David BEAULIEU, professeur au Département des sciences de la santé de l’UQAC, et celle de deux chercheurs de l'UQTR, les professeurs Martin DESCARREAUX du Département des sciences de l’activité physique, et Daniel MASSICOTE du Département de génie électrique et informatique.

L’objectif du volet Exploration du programme Nouvelles frontières en recherche vise à soutenir la recherche interdisciplinaire à haut risque et à haut rendement. Il a également pour but d'inspirer des projets qui rapprochent diverses disciplines en allant au-delà des approches disciplinaires classiques ou des approches interdisciplinaires courantes. Les équipes de recherche doivent avoir la capacité d’explorer de nouvelles avenues, qui pourraient se solder par un échec, mais qui ont le potentiel d’avoir un impact important.

Le FRQ - Nature et technologies octroie une subvention de recherche à Simon Barnabé

À l'issue du concours 2020-2021 du programme pilote Visage municipal, le professeur Simon BARNABÉ obtient une subvention de recherche du Fonds de recherche du Québec — Nature et technologies, pour réaliser son projet intitulé : Mise en place d'une ferme algale à Victoriaville dans un contexte d'économie circulaire et d'agriculture durable. Plus d'infos sur NEO UQTR

Simon BARNABÉ est membre de l'Institut d'Innovations en Écomatériaux, Écoproduits et Écoénergies, à base de biomasse et de l'Institut de recherche sur l'hydrogène. Il est titulaire de la chaire de recherche municipale pour les villes durables.

Le CNIMI reçoit 2,2 M$ du gouvernement fédéral

Le gouvernement fédéral octroie un financement de 2,2 millions de dollars pour soutenir le développement du Centre national intégré du manufacturier intelligent (CNIMI) au campus de l'UQTR à Drummondville.

Cette aide financière sera utilisée pour acquérir des technologies numériques et des équipements innovants. Le CNIMI est une initiative qui a pris forme à la suite d’une action concertée des établissements d’enseignement regroupés sous la forme du pôle régional en enseignement supérieur du Centre-du-Québec. Il a pour mission de réunir des composantes universitaires et collégiales ainsi que des entreprises manufacturières dans le but de créer une synergie et un transfert des connaissances entre les milieux de la formation et de la recherche. Il contribuera notamment à appuyer les entreprises manufacturières dans la numérisation de leurs opérations dans leur virage 4.0. Plus d'infos sur NÉO UQTR

Publications

La professeure Marie-Claude LAPOINTE du Département d'études en loisir, culture et tourisme, et le professeur Jason LUCKERHOFF du Département de lettres et communication sociale ont codirigé l'ouvrage Non-publics de la culture, Six institutions culturelles de la Mauricie à l'étude, qui vient de paraître aux Presses de l'Université du Québec.

Tout non-public est un public potentiel. Du point de vue des producteurs de l’offre culturelle, le non-public demeure un public non pratiquant, empêché ou écarté d’une offre qui devrait s’adresser à tous. Ainsi, dans l’optique d’un élargissement de la fréquentation, il fera l’objet d’une campagne de séduction passant à la fois par la communication, l’adaptation des contenus et des lieux, l’arrimage à la culture populaire, mais aussi l’éducation et, plus spécialement, une médiation qui viendra combler un déficit de compétences censé empêcher le développement d’un goût pour la culture et l’accès de certains individus au statut de public de la culture. Inscrite au cœur même de la logique managériale des institutions, la volonté de rejoindre le plus grand nombre produit donc d’elle-même l’emploi d’une notion comme celle de non-public, dans la mesure où elle délimite le champ d’action des diffuseurs et des médiateurs, de même qu’elle circonscrit la cible de politiques culturelles participant d’un effort de dénomination reposant toujours sur le postulat que le manque ou la privation de culture serait une injustice.

Cet ouvrage présente le fruit d’une recherche empirique auprès de six organismes culturels en Mauricie : le Comité de protection des œuvres d’Ozias Leduc, le Musée québécois de culture populaire, le Salon du livre de Trois-Rivières, la Maison de la Culture de Trois-Rivières, Ciné-campus Trois-Rivières et le FestiVoix de Trois-Rivières. Il s’adresse avant tout aux responsables d’équipements culturels, aux chercheurs et aux étudiants. Pour feuilleter le livre

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Rayonnement scientifique

L'UQTR compte dans ses rangs dix chercheurs parmi les plus cités au monde

Selon Mendeley Data (Elsevier), une base de données regroupant les publications scientifiques des chercheurs des quatre coins de la planète, dix chercheurs de l’UQTR font partie du club sélect du 2 % des experts les plus cités au monde.

Ces chercheurs sont Shari FORBES du Laboratoire de recherche en criminalistique, Kodjo AGBOSSOU, Pierre BÉNARD et Jacques HUOT de l'Institut de recherche sur l'hydrogène (IRH), Pierre MAGNAN et Marco RODRIGUEZ du Centre de recherche sur les interactions Bassins Versants - Écosystèmes Aquatiques (Centre RIVE), Louis RAYMOND de l'Institut de recherche sur les PME (INRPME), Gervais BÉRUBÉ du Groupe de recherche en signalisation cellulaire (GRSC), Tajmir-Riahi Heidar-Ali (associé de recherche) du Groupe de recherche sur la biologie végétale (GRBV), et Kokta BOHUSLAV du Département de chimie, biochimie et physique. Lire le communiqué sur NÉO UQTR

Nomination d'Esther Lévesque à l'Institut nordique du Québec

La professeure Esther LÉVESQUE a été nommée codirectrice de l'axe de recherche 3 - Fonctionnement des écosystèmes et protection de l'environnement, de l’Institut nordique du Québec (INQ). Cet axe de recherche comprend une thématique terrestre et une thématique marine. Il est composé de chercheurs issus de plusieurs établissements du Québec et d’une diversité de disciplines en sciences naturelles.

Dans cette fonction, la professeure LÉVESQUE représentera l'UQRT et l'ensemble des chercheurs québécois œuvrant dans les domaines de l’environnement auprès de cet organisme. Elle sera également appelée à travailler avec les membres du réseau des centres d'excellence ArticNet.

L'Institut nordique du Québec est un regroupement d’expertises québécoises dans les grands secteurs de la recherche nordique et arctique mis au service du développement durable du Nord.

Projet de recherche Bioénergie La Tuque

Suivi de l'I2E3

La région du Haut-St-Maurice regroupe depuis longtemps plusieurs chercheurs de l'Institut d'Innovations en Écomatériaux, Écoproduits et Écoénergies, à base de biomasse (I2E3). En effet, le projet de Bioénergie La Tuque (BELT) alimente l’I2E3 en matière de projets de recherche, d'offre de stages, d'enseignement et de thèmes de conférences. Depuis l’an dernier, le projet sert notamment d’exemple pour illustrer le concept de Smart région du réseau RLS-Energy, dont l’I2E3, l’Institut de recherche sur l'hydrogène (IRH) et le Réseau québécois sur l'énergie intelligente (RQEI) sont des membres actifs. Le projet BELT répond entièrement aux critères d’une région intelligente et innovante, à commencer par l'appropriation du concept par les décideurs et les gens de la région, la possibilité de former une relève et de créer des connaissances. Comme dans tous les projets de bioéconomie régionale, le projet accordera une place aux questions relatives à la gouvernance intelligence, aux citoyens intelligents, etc.

Le projet BELT bat son plein grâce à l'octroi d'une aide financière du gouvernement du Québec qui s'élève à 6 M$ (programme Technoclimat). Ce projet phare, pour lequel le professeur Simon BARNABÉ joue un rôle clé à titre de cotitulaire de la chaire de recherche industrielle en bioéconomie et bioénergie régionale, contribuera à l’avancée et à la diffusion de connaissances dans les domaines du bioraffinage et de la bioéconomie régionale et circulaire, des thèmes chers à l’I2E3.

Le projet BELT peut compter sur l’I2E3 pour maximiser cette avancée et cette diffusion de connaissances et pour contribuer à la réalisation de ce projet dans le Haut-St-Maurice et, éventuellement, dans d'autres régions du Québec et du Canada. Regarder une vidéo du projet BELT

Nomination au Décanat de la recherche et de la création

Fanny Longpré nommée au poste d'adjointe au doyen de la recherche et de la création

Le 15 février dernier, le comité exécutif de l'UQTR a adopté à l’unanimité une résolution proposant la nomination de Fanny Longpré à titre d’adjointe au doyen de la recherche et de la création.

Dans l'exercice de cette fonction, Fanny assistera le doyen dans le développement et l’encadrement de la recherche. Elle continuera à assumer la gestion de l’animalerie et à diriger le comité d’éthique de la recherche avec des êtres humains.

Fanny Longpré est titulaire d'une maîtrise en sciences expérimentales de la santé de l’Institut national de la recherche scientifique et d'un baccalauréat en biochimie de l’UQTR. Depuis 2011, elle a évolué comme agente de recherche au Décanat de la recherche et de la création.

Talents étudiants

Erik Bergeron et Arthur de Grandpré décrochent deux des huit bourses octroyées par le Réseau Québec maritime

À l'issue de l'appel de Bourses d'études supérieures du Réseau Québec maritime (RMQ), le comité d'évaluation a sélectionné le dossier de candidature de deux étudiants de l'UQTR.

Érik Bergeron, candidat à la maîtrise au Département de génie industriel, obtient une bourse du RMQ pour démarrer son projet de recherche doctoral portant sur la conception d'un modèle prédictif à partir de la technologie du jumeau numérique appliquée dans le domaine portuaire. Il est dirigé par les professeurs Pascal FORGET du Département de génie industriel, et Jean-François AUDY du Département de management.

Arthur De Grandpré, candidat au doctorat au Département des sciences de l'environnement, reçoit également une bourse d'études pour réaliser son projet de recherche intitulé Utilisation des patrons de végétation aquatique comme indicateurs de stress environnemental dans les lacs fluviaux. Il est dirigé par le professeur Andrea BERTOLO.

Bourse Fernand-Seguin 2021

Appel de candidatures

La Bourse Fernand-Seguin est certainement la plus importante bourse en journalisme scientifique au pays. La majorité des lauréats ont trouvé un emploi soit en journalisme ou en communication scientifique, ce qui fait de cette bourse un tremplin de choix pour assurer une relève de qualité dans le monde de la vulgarisation.

La Bourse Fernand-Seguin a été créée en 1981 à la mémoire du premier vulgarisateur scientifique à la radio et à la télévision de langue française au Canada, dont le talent et la passion pour les sciences ont marqué toute une génération de communicateurs scientifiques. L’ACS, la Société Radio-Canada et leurs partenaires sont fiers de lui rendre hommage chaque année par la tenue de ce concours. De nombreux lauréats de la bourse occupent aujourd’hui des postes clés en journalisme scientifique et en culture scientifique, ce qui atteste de l’impact de ce concours dans la diffusion des sciences au Québec.

L’Association des communicateurs scientifiques du Québec (ACS) regroupe les professionnels de la communication scientifique au Québec. Depuis sa création, en 1977, elle soutient ses membres en contribuant à leur développement professionnel et en travaillant à accroître la qualité et la visibilité de l’information francophone à caractère scientifique. Elle poursuit également l’objectif de sensibiliser la population, les entreprises et les décideurs à l’importance de la culture scientifique dans la vie citoyenne. Pour en savoir plus

Science et Société

Le Bulletin de la recherche souhaite mieux faire connaître l'impact de vos projets de recherche auprès de la communauté universitaire, de vos partenaires et des milieux avec qui vous collaborez. Chaque mois le Bulletin présentera les résultats de recherche d'une étude récemment réalisée par une chercheure ou un chercheur de l'UQTR.

Si l'on vous demandait quel profil de mangeur êtes-vous, le sauriez-vous ?

Êtes-vous un mangeur intuitif, prudent, inattentif ou, encore, expert des régimes alimentaires ?

Chaque année, depuis bientôt 10 ans, la professeure Johana MONTHUY-BLANC et son équipe, le groupe de recherche transdisciplinaire des troubles du comportement alimentaire (GR2TCA-Loricorps) profitent de la Semaine nationale de sensibilisation aux troubles alimentaires pour faire connaître les enjeux liés aux TCA, une problématique qui touche près de 300 000 personnes au Québec.

Cette année, dans la foulée de la pandémie de la COVID-19, le GR2TCA-Loricorps a voulu examiner l'impact du confinement sur nos habitudes alimentaires. En collaboration avec plusieurs partenaires internationaux, il a mené une étude qui avait pour but d’établir les profils de mangeurs ayant pu être influencés par les changements perceptuels, relationnels, occupationnels et sensoriels liés au confinement. L’étude a mis à contribution près de 300 participants, âgés d’environ 35 ans et dont l’indice de masse corporelle (IMC) est de 28 (soit en situation de début de surplus de poids).

Manger est un acte qui semble assez banal puisque nous mangeons quotidiennement, et ce, sans y faire beaucoup attention. Pourtant, l’acte de manger, lui-même, renvoie à une pléthore de différents profils dans la population et pour lesquels les motivations diffèrent d’un individu à l’autre. Nous mangeons pour être avec les autres, pour être en bonne santé ou, simplement, pour le plaisir. En contexte de confinement pandémique, par exemple, ces motivations peuvent être transformées de différentes façons et s’accompagner d’attitudes et de comportements alimentaires dysfonctionnels.

L'étude menée à l'échelle internationale révèle l'existence de trois types de mangeurs : les mangeurs intuitifs, les mangeurs perceptuels, et les mangeurs restrictifs. Les travaux du GR2TCA-Loricorps ont permis d'établir le deuxième profil, les mangeurs perceptuels. Voici quelques données portant sur ces profils de mangeurs.

Les mangeurs intuitifs
Ils composent 29 % de l'échantillon. Ils mangent en satisfaisant leurs besoins biopsychologiques de faim et de satiété, idéalement avec plaisir, et se protègent des attitudes et des comportements alimentaires dysfonctionnels.

Manger intuitivement et, idéalement, en pleine conscience permet de conserver un état de bien-être et de santé alimentaire, et donc de s’entraîner à écouter et à faire confiance à son propre baromètre interne : notre corps.

Les mangeurs intuitifs font plus d’activité physique (5 h par semaine, en moyenne) que les mangeurs restrictifs (1,8 h par semaine, en moyenne). Les mangeurs intuitifs cuisinent plus que les mangeurs restrictifs, mais moins que les mangeurs perceptuels (respectivement 65 %, 42 %, 72 % cuisinent presque tout ce qu’ils mangent).
Manger n’est pas un acte ordinaire, mais l’expression de notre identité (culturelle) et le baromètre de notre bien-être et de notre santé. Devenir un acteur de sa santé, c’est manger intuitivement.

Les mangeurs perceptuels
Ils composent le groupe majoritaire des participants, 58%. Ces derniers mangent sans être satisfaits de leurs perceptions physiques de soi (image du corps). C'est pourquoi ils sont peu prédisposés à manger avec plaisir et à risque de développer des attitudes et des comportements alimentaires dysfonctionnels. L’émergence de ce profil de mangeurs permet d'ailleurs de remettre en perspective les approches scientifiques cliniques qui définissent les TCA comme un trouble perceptuel.

Les mangeurs restrictifs
Ils forment 14 % des participants de l'étude. Ils mangent en se restreignant dans le but de contrôler leur poids. Ils développent ainsi une culpabilité à manger. C'est pourquoi ils sont à risque de développer des troubles du comportement alimentaire.

Manger en tentant de se restreindre dans le but d'éviter la perte de poids donne plutôt envie de manger, car l'on ne tient pas compte de nos besoins biopsychologiques ; c'est la pesée sur la balance que l'on souhaite éviter. Pourtant, se peser rassure faussement.

Les résultats de l’enquête québécoise seront bientôt comparés à ceux qui seront compilés par les collaborateurs français. Au terme de l’exercice, les données pourront être utilisées par l'ensemble des partenaires de l’étude, notamment pour avoir une meilleure compréhension de l’acte de manger (Centre de recherche de l’Institut Paul Bocuse), et pour déployer des interventions appropriées (ANEB, Maison L’Éclaircie, Fillactive). D'autres infos sur NÉO UQTR

L'IMPACT DE VOS RECHERCHES EN 500 MOTS

Dans un texte de 500 mots, présentez le titre, les enjeux de recherche de votre projet, ainsi que les retombées d'impact qui en découlent en vous appuyant sur l'une ou l'autre des cinq (5) catégories suivantes :

• Avancement des connaissances

• Renforcement de la capacité de recherche

• Connexion des savoirs et prise de décisions éclairées

• Bienfaits et améliorations

• Bénéfices sociaux, économiques, environnementaux et culturels

Acheminez votre texte à Caroline.Boily@UQTR.ca

Invitations

Que sont les données de recherche ? Lesquelles peut-on diffuser, lesquelles doit-on détruire ? Comment les partager lorsqu’un projet de recherche est en cours ? À qui appartiennent-elles exactement ?

C’est pour apporter des éléments de réponse à ces questions que le Décanat de la recherche et de la création (DRC) et le Service de la bibliothèque de l’UQTR organisent les 4 et 5 mars 2021 un colloque entièrement en ligne sur la gestion des données de recherche (GDR).

Cet événement vise à sensibiliser la communauté universitaire du Québec aux enjeux scientifiques, technologiques, éthiques, juridiques relatifs à la GDR, et c’est avec un grand plaisir que le DRC et la Bibliothèque vous y invitent. Pour y participer, votre inscription est requise à l’adresse suivante www.uqtr.ca/colloquegdr. Vous y trouverez également le programme qui est d’ores et déjà disponible.

Les Fonds de recherche du Québec lance un nouveau module de sensibilisation à la conduite responsable en recherche

Les Fonds de recherche du Québec (FRQ) ajoutent des thématiques à leur outil de sensibilisation à la conduite responsable en recherche. Un 3e module intitulé L'éthique de la recherche est ajouté à l'outil afin de sensibiliser la communauté scientifique aux pratiques exemplaires dans les recherches menées avec des êtres humains et des animaux, et dans les recherches pouvant comporter des risques pour l'environnement.

Destiné aux chercheuses et chercheurs, cet outil offre une approche interactive qui suscite l'implication. Il peut être utilisé dans différents contextes tels que celui visant à sensibiliser de nouvelles personnes qui se joignent à une équipe de recherche ou celui contribuant à apporter un soutien dans le cadre d'un cours.

Ce 3e module de sensibilisation s'ajoute à ceux qui étaient déjà offerts, soit le module 1 intitulé La diffusion responsable des résultats de la recherche et le module 2, L'intégrité dans l'évaluation du travail d'autrui . Ces outils de sensibilisation couvrent des enjeux primordiaux de la conduite responsable en recherche afin d'aider la communauté scientifique à adopter des pratiques exemplaires. Pour accéder aux modules de formation

Occasions de financement

Le Programme d'appui à la francophonie canadienne lance son premier appel à projets de l'année 2021-2022
Date limite : 3 mars 2021

Le programme a pour objectifs de renforcer les liens entre le Québec et les communautés francophones du Canada et de soutenir la promotion de la langue française, partout au Canada par le financement d'initiatives portées par des organismes du Québec et de la francophonie canadienne.

Cet appel porte exclusivement sur le volet 3 du programme, qui est consacré aux partenariats et à la mise en place de réseaux de collaboration et d'échanges entre les partenaires francophones et francophiles participants. Les organismes du Québec et ceux d'ailleurs au Canada pourront proposer leurs projets conjoints quels que soient les secteurs d'intervention, par exemple l'éducation, le développement économique, la santé, la petite enfance, la jeunesse, l'immigration, la justice, la culture, les communications, la condition féminine, la diversité et l'inclusion, les aînés ou encore l'environnement. De plus, ceux qui souhaitent organiser une activité en marge du Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes de juin 2021 pourront déposer une demande de subvention. Leur activité pourra ainsi être désignée comme activité partenaire de l'évènement si elle correspond aux thèmes et aux objectifs du Sommet.

Les projets présentés devront être adaptés aux consignes de la santé publique et au contexte de la pandémie de la COVID-19 au moment de leur réalisation. Une attention particulière sera donnée aux projets qui utiliseront la technologie pour faciliter les échanges et être accessibles à un plus large public en intégrant une dimension pancanadienne. Par ailleurs, la Direction de la francophonie, de la réflexion stratégique et des affaires publiques canadiennes et les bureaux du Québec au Canada, qui relèvent du Secrétariat du Québec aux relations canadiennes, accompagneront les organismes tout au long du processus de dépôt des demandes de subvention. Pour ce faire, ils organiseront notamment des webinaires et des séances de conseil personnalisées avant et pendant l'appel à projets.

Les organismes intéressés ont jusqu'au 3 mars 2021, à minuit (heure normale de l'Est), afin de déposer leur demande de subvention, pour des projets qui devront débuter entre le 1er avril et le 31 octobre 2021. Plus d'infos

Concours prix et distinctions

Prix Impacts du CRSH
Date limite : 1er avril 2021

Les prix Impacts ont pour but de souligner les réalisations en matière de recherche, de formation en recherche, de mobilisation des connaissances et de rayonnement de chercheurs et d’étudiants exceptionnels financés par le CRSH. Les catégories du concours sont les suivantes :

• Médaille d’or : 100 000 $

• Prix Talent : 50 000 $

• Prix Savoir : 50 000 $

• Prix Connexion : 50 000 $

• Prix Partenariat : 50 000 $

Plus d'infos

Planification de la recherche stratégique 2020-2025

Élaborée conjointement avec la communauté de recherche de l’Université, la Planification de la recherche stratégique 2020-2025 de l’UQTR se concentrera prioritairement autour des quatre (4) grandes orientations suivantes : Environnement et transition énergétique, Innovations technologiques, sociales et culturelles, Savoirs fondamentaux et cliniques en santé humaine, Société et santé inclusives.

Les éditions du Bulletin de la recherche sont maintenant accessibles depuis le site de l'UQTR.

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Bulletin de la recherche

Le Bulletin de la recherche est édité par le Vice-rectorat à la recherche et au développement. Pour transmettre vos nouvelles ou vous abonner, communiquez avec Caroline.Boily@UQTR.ca