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Mars 2022Le Bulletin de la recherche propose des nouvelles portant sur la vie scientifique de l'UQTR. Il est diffusé tous les mois à l'intention des chercheurs et des abonnés ayant un intérêt pour les activités de recherche de l'Université.
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Dans cette édition Prix et distinctions | Nouveaux chercheurs | Publications | Cognitio | Octrois de recherche | Rayonnement | Talents étudiants | Équité, diversité et inclusion | Invitations | Science et société| Planification de la recherche stratégique 2020-2025
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Thang Le Dinh remporte un prix d'envergure dans le domaine de la science des services
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Le professeur Thang LE DINH, du Département de marketing et systèmes d'information, a remporté avec ses collaborateurs le Distinguished Paper Award lors du congrès IESS 2.2 (12th International Conference on Exploring Service Science). Cette conférence d'envergure internationale est organisée par des experts réputés de la science des services. La contribution primée, Towards Knowledge-based Smart Service Systems : The Case of a Recommender System for a Cultural Organization, est le fruit de travaux menés conjointement avec Nguyen Anh Khoa Dam, étudiant au DBA de l’École de gestion, et Huan Ho, étudiant de l’Université York en stage à l'UQTR.
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Chaque mois, le Bulletin de la recherche présente un professeur récemment embauché à l'UQTR afin de faire connaître ses travaux auprès de la communauté de recherche. Ce mois-ci, nous vous présentons la professeure Anne-Sophie Bally
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Professeure au Département de lettres et communication sociale, Anne-Sophie BALLY a pour domaine de recherche la linguistique fondamentale et cognitive au niveau structurel de la morphosyntaxe, et pour champs d’expertise la linguistique française et la linguistique de langues non indo-européennes, auxquelles elle s’est intéressée durant ses études de cycles supérieurs. Sa thèse de doctorat, soutenue à l’UQAM en 2011, a d’ailleurs porté sur les structures du saramaka, une langue créole parlée par les descendants d’esclaves fugitifs du Suriname et de la Guyane française. Un volet important de ses recherches concerne les semi-auxiliaires, sujet qui a donné lieu à la production de deux articles remarqués. Le premier présente une liste de semi-auxiliaires du français, inédite et qui prétend en grande partie à l’exhaustivité. L’article démontre aussi, grâce au verbe oublier, qu’un test syntaxique conçu par une figure importante de la linguistique moderne n’est pas concluant si on fait abstraction du sens du verbe. Le second, qui paraît ce mois-ci dans la prestigieuse revue Langue française, poursuit la démonstration en procédant cette fois à une analyse sémantico-aspectuelle fine du verbe apprendre. La professeure BALLY examine aussi des questions liées aux analyses en grammaire moderne. Avec une collègue de l’UQAM, elle a proposé récemment de remodeler le concept de manipulations syntaxiques. Tiré de ce travail conjoint, un article qui se penche sur l’histoire des manipulations syntaxiques dans les grammaires de la francophonie de l’hémisphère nord a été soumis pour publication dans un numéro thématique de la revue Le langage et l’Homme. À partir d’un corpus de SMS québécois, la professeure BALLY mène également des recherches sur la distribution morphosyntaxique des phrases interrogatives dans ce type de messages où l’on retrouve de nombreuses marques d’oralité. Ces travaux, qui feront l’objet d’une présentation au 89e Congrès de l’ACFAS puis au 8e Congrès mondial de linguistique française, intéresseront les linguistes et les spécialistes des nouveaux médias, mais aussi les chercheurs en éducation, qui s’interrogent sur les pratiques écrites des adolescents. Un article sur les phrases interrogatives totales dans les SMS en français québécois sera par ailleurs publié dans les Actes du 8e Congrès mondial de linguistique française. Le corpus de SMS existant datant d’une douzaine d’années, les contraintes propres à la messagerie texte telle qu’elle existait alors limitent maintenant le travail de recherche. La professeure BALLY a donc soumis au CRSH une demande de subvention de développement Savoir afin de constituer et d’analyser un corpus de SMS actuels. L’étude du nouveau corpus, qui permettrait de mieux appréhender cette forme de communication maintenant généralisée dans la population, pourrait réserver des surprises. La professeure BALLY est en outre engagée dans la codirection d’un numéro thématique de la revue Minorités linguistiques et société/Linguistic Minorities and Society, qui s’intéressera à la morphosyntaxe et à la pragmatique de variétés de français en périphérie (c’est-à-dire en marge du centre, que l’on considère comme étant Paris). La réponse enthousiaste de la communauté scientifique témoigne de la pertinence de telles recherches et du fort intérêt qu’elles suscitent.
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Gabriel Antonius copublie un important article dans Physical Review B
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Le professeur Gabriel ANTONIUS, du Département de chimie, biochimie et physique, et le professeur Steven G. Louie, de l'Université de Berkeley, ont publié récemment dans la revue Physical Review B un article qui a pour titre “Théorie du couplage exciton-phonon”. En voici un court résumé. Les excitons décrivent l'état des électrons immédiatement après l'absorption de la lumière, par exemple dans un panneau solaire. Pour développer de nouveaux matériaux photovoltaïques, il est important de comprendre comment les excitons diffusent dans les matériaux, puisque cette étape est nécessaire pour collecter l'énergie aux électrodes du panneau solaire. Les phonons décrivent les vibrations des atomes dans un matériau, et l’interaction entre les excitons et les phonons est le mécanisme principal de diffusion des excitons.
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Dans ce projet, les deux auteurs ont élaboré une théorie formelle pour calculer le temps de diffusion des excitons et représenter les matrices d’interaction à l’aide de diagrammes de Feynman. Cette méthodologie est illustrée à l’aide d’un modèle bidimensionnel simple.
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La professeure Jacinthe LECLERC, du Département des sciences infirmières, obtient un octroi de recherche dans le cadre du concours Coopération Québec-Brésil 2021-2023. Les hospitalisations dans les pays à revenu faible et intermédiaire donnent lieu à 134 millions d'événements indésirables (EI), incluant ceux causés par les médicaments. Cette situation occasionne plus de 2,5 millions de décès évitables par an dans le monde. Au Canada, il y aurait environ 200 000 EI graves associés aux médicaments chaque année, dont 22 000 entraînant le décès et coûtant au système de santé canadien entre 13,7 et 17,7 milliards de dollars. Malheureusement, seulement 5 % des EI seraient déclarés aux systèmes de pharmacovigilance, ce qui empêche Santé Canada et ANVISA (au Brésil) d’évaluer en continu le ratio risques-bénéfices des médicaments consommés par la population. Ce financement du ministère des Relations internationales et de la Francophonie permettra à la professeure Jacinthe LECLERC et ses collaborateurs de mener un projet de recherche épidémiologique visant à améliorer la déclaration des EI au Brésil et au Canada. Ce projet sera réalisé en collaboration avec des équipes de Dre Fernanda Raphael Escobar Gimenes, de l'Université de São Paulo.
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Le professeur Hugo GERMAIN, du Département de chimie, biochimie et physique, a obtenu une subvention Accélération de Mitacs pour un projet de recherche intitulé "Multiplication de Cannabis sativa par culture de méristèmes in vitro : détermination du taux de mutation et optimisation des milieux et conditions de culture pour différents cultivars commerciaux". Réalisé par Vincent Lefebvre, étudiant à la maîtrise en biologie cellulaire et moléculaire, le projet vise à déterminer l’impact des repiquages successifs sur le génome de différents cultivars de cannabis lors de la multiplication par culture de méristèmes in vitro. Plus précisément, il s’agit d’effectuer des repiquages toutes les deux semaines conjointement avec des extractions d’ADN et des séquençages de génome par restriction/ligation afin d’obtenir de l’information sur le taux de mutations d’au moins sept cultivars de cannabis sur plusieurs générations. La culture in vitro offre plusieurs avantages par rapport à la méthode classique de bouturage. En effet, elle permet de libérer de l’espace de production en rendant obsolète l’utilisation de plantes mères servant uniquement à la propagation, les remplaçant par des plantules mères dans des éprouvettes. De plus, cette méthode permet une production stable de plantules dépourvues de maladies ainsi qu’un taux de multiplication supérieur selon un horaire de production préétabli. Il est donc essentiel, pour les entreprises souhaitant employer cette méthode de production, de connaître son impact sur la génétique de leurs cultivars, puisque celle-ci affecte ultimement le rendement en biomasse ainsi que la morphologie des fleurs cultivées. Le projet comporte également un volet qui a pour but de déterminer les conditions optimales de croissance végétative in vitro et d’adaptation aux conditions de serre pour chacun des cultivars étudiés.
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Mamadou Lamine DOUMBIA, professeur au Département de génie électrique et génie informatique, a reçu une subvention Accélération de Mitacs pour mener une étude de préfaisabilité relativement à l'alimentation électrique du Parc régional Kiamika, dans les Hautes-Laurentides. Le projet est réalisé pour la Société de développement du réservoir Kiamika, qui a le mandat de promouvoir et de mettre en valeur le Parc régional et d'aménager ses infrastructures en basant ses actions sur le respect et la conservation de l'environnement. Le Parc a une vocation de conservation et abrite une réserve de biodiversité sur une superficie de 46,2 km carrés. Il compte des arbres plus que centenaires dans un environnement n'ayant jamais subi de perturbations naturelles graves ni souffert des activités humaines. En proposant une solution énergétique propre et durable pour l'alimentation en électricité de cet espace naturel, le professeur DOUMBIA est fier de participer à une initiative de développement régional qui prend sérieusement en compte les dimensions écologiques et sociales.
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Le professeur Thang LE DINH a obtenu un financement du programme Accélération industrielle pour postdocs de Mitacs. Les fonds serviront au lancement d'un projet de recherche qui mobilisera deux chercheurs postdoctoraux, Mme Thi My Hang Vu et M. Do Dung Vu. Le secteur des banques subit une transformation profonde avec la virtualisation des échanges et l’avènement des services bancaires intelligents. Le smart banking est une solution émergente grâce à laquelle on pourra offrir aux consommateurs des applications mobiles, le libre-service, le conseil à distance, le social computing et la signature numérique, entre autres. Un des enjeux du smart banking est l’interaction entre les clients et le système bancaire via les services conversationnels, qui permettent par exemple de répondre aux questions, de faire des recommandations et de procéder à des transactions. En vue d’améliorer l’expérience et d’accroître la satisfaction des utilisateurs, l'objectif poursuivi par les chercheurs est de concevoir un service conversationnel de nouvelle génération capable d’apprendre, d’évoluer et d’offrir un dialogue personnalisé à la clientèle du smart banking. Le projet est réalisé en collaboration avec la Fédération des caisses Desjardins et l’Institut de valorisation des données (IVADO). Il est le premier mené dans le cadre de la nouvelle collaboration établie entre l’IVADO et l’INRPME, qui entend développer une expertise de pointe dans les domaines de la science des données, de l’optimisation et de l’intelligence artificielle.
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Subvention d'engagement partenarial
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La professeure Stéphanie GIRARD, du Département des sciences de l'activité physique, a obtenu une subvention d'engagement partenarial du CRSH pour un projet réalisé conjointement avec le YMCA de Montréal et destiné à "Soutenir la participation de tous les enfants en camp de jour : mise à l'essai d'un outil favorisant la littératie physique inclusive". Dès leur plus jeune âge, les Québécois devraient avoir des occasions de développer leur littératie physique. C'est connu, plus la pratique d’activités physiques est inculquée tôt, plus il y a de chances que cette habitude persiste en vieillissant. Pour autant, l’application du concept de littératie physique en contexte inclusif est somme toute assez récente. S’il peut s’appliquer à tous les individus, peu importe l'âge, la culture, les habiletés ou les capacités, un nombre limité d'études ont considéré des participants ayant des besoins particuliers ou porté sur des activités physiques en dehors des milieux scolaires et sportifs. La littératie physique inclusive implique donc que les programmes récréatifs de littératie physique soient réellement inclusifs, collaboratifs, accueillants et adaptés aux besoins des participants afin de générer des expériences positives, et ce, tant chez les enfants que chez les intervenants. Or, le développement et la mise en place de pratiques inclusives sont souvent confrontés à de nombreux obstacles dans le contexte des camps de jour. Dans cette optique, l’équipe de recherche a élaboré un partenariat avec un camp de jour inclusif situé sur l’île de Montréal afin de mettre à l’essai un outil visant à maximiser la participation de tous les campeurs ainsi que la formation qui lui est associée. Le projet permettra, entre autres, d’évaluer l’appréciation des divers intervenants (compagnons, animateurs et responsables de sites) au regard de la formation reçue ainsi que leur intention de mettre en œuvre les stratégies suggérées dans l’outil. Il cherchera aussi à vérifier l’évolution, entre le début et la fin du camp, des perceptions, attitudes et croyances des divers intervenants concernant les stratégies proposées, en plus de documenter leur déploiement pendant l’été.
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Commandite de la Grappe éducative Montcalm
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Le professeur Marc ALAIN, du Département de psychoéducation, a reçu de la Grappe éducative de Montcalm des fonds pour développer et évaluer des programmes de soutien mis sur pied dans la MRC de Montcalm, dans la région de Lanaudière Le projet consiste à mettre en branle et à coordonner toute une série d'initiatives destinées à aider les jeunes de cette région à poursuivre leur parcours scolaire jusqu'à la diplomation. À l'heure actuelle, près de 70 % des garçons et 50 % des filles n'y terminent pas leurs études de niveau secondaire, ce qui montre bien la pertinence sociale d'un tel projet. Regroupant l'ensemble des acteurs sociaux concernés, les initiatives de prévention qui se mettent en place touchent plusieurs milieux et clientèles, qu'il s'agisse de tout-petits affectés par des carences significatives de développement ou encore d'adolescents qui présentent un risque sérieux de décrochage scolaire. La Grappe éducative Montcalm a pour mission de mobiliser les ressources dédiées à la réussite éducative des jeunes, en ciblant des pratiques exemplaires qui seront déployées en complémentarité et en appui aux actions déjà entreprises par les partenaires du milieu.
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Fondation de la Neurodiversité
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Dany LUSSIER-DESROCHERS, professeur au Département de psychoéducation, a eu droit au soutien de la Fondation de la Neurodiversité pour le projet de recherche "Communauté d'innovation inclusive et trouble du spectre de l'autisme : Élaboration et expérimentation d'un processus participatif et collaboratif impliquant une diversité de parties prenantes". Ce projet sera réalisé par Karine Ayotte, doctorante en psychoéducation et boursière Mitacs. La Fondation de la Neurodiversité a pour mission d'encourager la création et d'assurer la pérennité d’environnements bienveillants et innovants pour les enfants neurodivergents. Dans le cadre de ce projet, elle entend mettre sur pied un Centre d’innovation pour les enfants autistes afin de répondre aux besoins sans cesse croissants des personnes présentant un trouble du spectre de l’autisme (TSA) et de leurs proches. La mobilisation d’une diversité d’acteurs est une caractéristique favorisant l’émergence et la pérennisation de ce type d’innovation sociale. Toutefois, la participation et l’engagement des personnes présentant un TSA dans le processus de travail collaboratif peuvent s’avérer un défi. La communauté d’innovation, qui favorise une réflexion collective et regroupe des acteurs ayant un intérêt commun dans le processus de création et de déploiement de l’innovation, constitue à cet égard une approche tout indiquée. L’étude a donc pour objectif d’implanter une communauté d’innovation inclusive qui engagera activement l’ensemble des parties prenantes dans le projet novateur de la Fondation. Plus spécifiquement, il s’agira d’élaborer un processus qui prend en compte le point de vue de tous les participants et d’expérimenter cette démarche dans un contexte réel de travail collaboratif. Le projet offre ainsi de nouvelles occasions de participation et d’inclusion sociales pour les personnes présentant un TSA.
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Fondation canadienne pour la recherche chiropratique
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Le professeur André BUSSIÈRES, du Département de chiropratique, a obtenu un contrat de la Fondation canadienne pour la recherche en chiropratique en vue de réaliser un projet du Global Spine Care Initiative. L'objectif est d'explorer la pertinence, l'acceptabilité et la faisabilité de la mise en œuvre d'un modèle de soins du dos et du cou fondé sur des données probantes dans une communauté mal desservie, Pimicikamak Okimawin, située au nord du Manitoba. Pour ce faire, les chercheurs vont recueillir des informations à partir d'une revue de dossiers cliniques, d'une enquête sur la santé communautaire et de sondages sur l'adoption du modèle de soins. Ils prévoient aussi une série d’entrevues avec les parties prenantes, c’est-à-dire les patients, les résidents et leaders de la communauté ainsi que les cliniciens. Les résultats serviront à adapter le modèle de soins en collaboration avec les partenaires et à concevoir et piloter des stratégies d’implantation qui concernent, entre autres, le déploiement d’une offre de formation et la cocréation d’un programme éducatif communautaire adapté culturellement. D’une durée de trois ans, le projet vise à améliorer la manière dont les personnes présentant des problèmes de dos ou de cou sont évaluées et soignées via une approche non chirurgicale simple, accessible et efficace qui recourt aux conseils sur les soins personnels et l'exercice, à la thérapie manuelle, à l'acupuncture et aux médicaments, le cas échéant. Les personnes nécessitant un avis chirurgical seront vues en téléconsultation par le service d’orthopédie d’un centre hospitalier de Winnipeg.
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Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation
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Tous deux membres du Groupe de recherche en biologie végétale, les professeurs Tagnon MISSIHOUN, du Département de chimie, biochimie et physique, et Vincent MAIRE, du Département des sciences de l'environnement, ont obtenu un financement du programme Innov’Action du MAPAQ pour étudier l’effet de la lumière rouge lointaine sur le rendement du poivron doux cultivé en serre. La professeure Martine Dorais, de l’Université Laval, est aussi associée à ce projet de recherche. La culture en saison hivernale, qui permettrait de diversifier l'approvisionnement en fruits et légumes, exige de recourir à l’éclairage artificiel basé traditionnellement sur les lampes HPS (haute vapeur de sodium) et, plus récemment, sur des diodes électroluminescentes (DEL) de composition spectrale diverse (p. ex. bleu, vert, rouge, rouge lointain). Toutefois, les effets du rayonnement rouge lointain sur la formation et la croissance des fruits du poivron doux demeurent à ce jour très peu connus et, par conséquent, moins bien maîtrisés par les producteurs. L'étude vise à combler cette lacune. Elle permettra d'accroître notre savoir-faire avec les DEL et d'utiliser plus efficacement l'éclairage artificiel pour la production du poivrons durant la saison froide au Québec. Les principaux partenaires industriels de ce projet de recherche sont HydroSerre/Les Serres Lefort, la Zone Agtech ainsi que l’entreprise Sollum Technologies du Québec, qui fournira les luminaires DEL.
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Le professeur Adam Skorek invitéà l'Université de Delhi
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Le professeur Adam SKOREK, du Département de génie électrique et génie informatique, a été spécialement invité par l’Université de Delhi, en Inde, à prendre la parole lors d’une conférence tenue sous le thème “Artificial Intelligence and Brain Biofields Quantum Computing”. L'événement est organisé conjointement par le Centre for India-Canada Studies et le chapitre de Delhi de l’IEEE Electron Devices Society.
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Une importante délégation de l’UQTR à la soirée scientifique de l’Institut franco-européen de chiropraxie
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Plusieurs membres de l’UQTR ont pris part à la 4e soirée scientifique de l’Institut franco-européen de chiropraxie (IFEC), qui s’est tenue le 25 mars à Ivry, en France. Réunissant chercheurs, professeurs, praticiens et étudiants, l'événement permet de diffuser les connaissances, de former la prochaine génération de chercheurs et de renforcer les liens de collaboration. Les représentants de l’UQTR ont en effet profité de l’occasion pour tisser de nouveaux partenariats avec les établissements de formation chiropratique de France, de Suisse et d’Espagne. L’UQTR joue un rôle central dans les activités scientifiques de l’IFEC. En témoigne la participation des professeurs Martin DESCARREAUX et André BUSSIÈRES à sa programmation de recherche, eux qui sont responsables des deux axes thématiques mis de l’avant par l’équipe de recherche de l’Institut. Le professeur DESCARREAUX dirige en outre la Chaire de recherche internationale en santé neuro-musculo-squelettique, qui bénéficie du soutien de l’IFEC. La Chaire fédère les apports de maisons d’enseignement et de recherche du Canada, de France et d’Espagne, mais aussi d’associations professionnelles et d’acteurs gouvernementaux des milieux de la santé. En matière de production, de transfert et de mobilisation des connaissances, il convient d’y voir un exemple de collaboration particulièrement réussie. Cette rencontre internationale réservait une place de choix aux étudiants. Lors d’une séance de présentation d’affiches scientifiques, ces derniers ont eu la chance de s’initier aux mécanismes de la communication savante en partageant les résultats de leurs travaux de recherche. Outre une étudiante de l’UQTR, plusieurs étudiants de l’IFEC ayant réalisé une partie de leur cursus au sein de notre établissement ont participé à ce rendez-vous scientifique. Les personnes présentes ont d’ailleurs pu discuter du renforcement des accords de mobilité destinés à faciliter l’inscription d’étudiants français désireux de parfaire leur apprentissage sur notre campus, notamment dans le cadre de notre programme de maîtrise en sciences de l’activité physique. La constitution d’un réseau actif des deux côtés de l’Atlantique permet d’étendre notre maillage scientifique, d’accroître la cohérence et la portée de notre effort de recherche, de nouer des collaborations porteuses et de favoriser l’émergence de jeunes chercheurs. La soirée scientifique organisée par l’IFEC constitue à cet égard un réel succès et, assurément, une expérience à répéter.
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Le professeur Jason Luckerhoff coorganise un colloque sur l'importance de l'enseignement supérieur dans les sociétés du savoir
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Du 10 au 12 mai prochain, le professeur Jason LUCKERHOFF, du Département de lettres et communication sociale, va coorganiser un colloque dans le cadre du 89e Congrès annuel de l’ACFAS. Intitulé "L’enseignement supérieur au coeur des sociétés du savoir", l'événement donnera lieu à plus de 30 communications et mènera à la publication d’un livre en libre accès. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la plupart des pays sont entrés dans ce que certains appellent la "société du savoir". L’enseignement supérieur (ES) est un pilier des sociétés du savoir, en ce sens qu’il est dépositaire des connaissances accumulées par l’humanité et assure une formation (tout au long de la vie) permettant aux citoyens de fonctionner dans leur société tout en produisant de nouvelles connaissances sur des enjeux complexes (comme la génétique, l’insécurité alimentaire, l’intelligence artificielle, la robotique avancée). L’ES contribue également à la réputation des États où les découvertes ont été produites. Au cœur de la société du savoir, l’ES représente des investissements mondiaux de 1 900 milliards de dollars; au Canada, les revenus totaux des établissements d’ES dépassent les 38,7 milliards (Statistique Canada, 2020). Ces investissements servent à soutenir les missions de l’ES, qui contribuent directement à la société du savoir par ses activités d'enseignement, d'apprentissage, de recherche, d'innovation et de service aux collectivités. Or, malgré la multiplication des avis du Conseil supérieur de l’éducation, des rapports et analyses préparés pour le gouvernement et des recommandations découlant du chantier sur l’université du futur, notre connaissance des conditions dans lesquelles s’accomplissent ces missions demeure limitée.
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Le Bulletin de la recherche réserve une section de son infolettre à la diffusion du portrait d'une étudiante ou d'un étudiant de cycles supérieurs dans le but à la fois de faire connaître ses travaux de recherche auprès de la communauté de l'UQTR et d'encourager l'implication étudiante dans le développement de la recherche et de la création au Québec.
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Ce mois-ci, nous vous présentons Marie-Jeanne Decoste, diplômée à la maîtrise en arts et en études québécoises
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L’art à la rescousse du patrimoine rural Introduire le champ des arts visuels à celui du patrimoine rural vernaculaire, c’est ce qui a poussé l’artiste multidisciplinaire Marie-Jeanne Decoste à entreprendre des études de 2e cycle en recherche-création. Son passage au DESS en arts et au programme court en études québécoises de l’UQTR lui a permis de questionner d’un point de vue interdisciplinaire les notions de ruralité et de patrimoine intrinsèquement liées à son identité artistique. Ses recherches ont poursuivi deux objectifs : dans un premier temps déplacer l’art contemporain hors des salles d’exposition conventionnelles, puis valoriser le patrimoine matériel et immatériel de son village à travers une œuvre sensible au territoire où elle s’inscrit. La perte du patrimoine rural, tangible et intangible, est un enjeu affectant de plus en plus de villages et auquel il convient de porter une attention citoyenne et politique. Dans une approche ethnographique, l’artiste a effectué un parcours photographique dans les rangs de plusieurs campagnes afin d’archiver les traces d’un patrimoine oublié. En 2019, elle a présenté une partie de ses recherches à la galerie d’art du Parc de Trois-Rivières lors d'une exposition consacrée aux reliques religieuses liées à l’hyperdulie, un patrimoine particulier dévoilant une forme d’exotisme rural. Plusieurs des œuvres réalisées dans le cadre de ce projet ont été acquises par des collectionneurs privés et publics tels que la BAnQ et la Ville de Trois-Rivières. La présentation du projet final de maîtrise de Marie-Jeanne s’est tenue sur le terrain d’une maison ancestrale à l’abandon dans la petite localité de Saint-Justin en Mauricie. Ce projet lui a permis d’introduire l’art dans un lieu inattendu et de puiser à même ce lieu pour produire l’œuvre. Cette démarche est en filiation directe avec le site-specific art, mieux connu sous le nom d’art in situ. Par cette intervention artistique, elle a révélé plusieurs facettes de son paysage rural immédiat en envisageant celui-ci comme un lieu propice à faire vivre une expérience artistique aux résidents locaux. Forte de cette formation, Marie-Jeanne Decoste enseigne depuis peu au département des arts visuels du Cégep de Trois-Rivières; elle a également été recrutée par l’organisme Culture pour tous à titre de conseillère culturelle dans Hémisphères, le réseau des écoles culturelles. Elle travaille actuellement à la réalisation de divers projets de création qui prendront forme dans l’espace public d’ici la fin de l’année 2022.
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Projet Emphytéose, vue d’ensemble de l’installation sur une propriété ancestrale de St-Justin (Crédit photo : Johanne Lortie)
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Le CIREM 16-18 lance son concours de prix annuels
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Le CIREM 16-18 offre des prix annuels pour soutenir les jeunes chercheur(e)s du CentrePrix pour le meilleur article du CIREM 16-18 Ce prix vise à récompenser l’excellence d’un article de fond publié par un(e) étudiant(e) ou chercheur(e) postdoctoral(e) du regroupement par la remise d'une bourse de 1 500 $. Date limite : 1er avril 2022 Prix XVI-XVIII pour le meilleur mémoire de maîtrise portant sur l’époque moderne Ce prix souligne l’excellence d’un mémoire de maîtrise réalisé par un(e) doctorant(e) du regroupement par l'octroi d'une bourse de 1 250 $. Date limite : 1er avril 2022 Bourses Hermès d'aide à la diffusion Cette bourse, attribuée au printemps et à l'automne de chaque année, vise à permettre aux étudiant(e)s un meilleur rayonnement de leurs recherches, en couvrant une partie des frais de déplacement engendrés par la participation de colloques à l’étranger. Ces bourses ont une valeur de 750 $ chacune. Date limite : 1er mai 2022 Plus d'infos
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Lancement du Programme de bourses étudiantes du Centre interuniversitaire d’études québécoises
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OBJECTIFS Ces bourses ont pour objectif de favoriser la formation de la relève à tous les cycles d’études dans les champs d’expertise du Centre interuniversitaire d’études québécoises (CIEQ). Elles financeront durant l’été 2022 des stages d’initiation à la recherche d’étudiantes et d’étudiants inscrits au premier cycle en histoire et dans des disciplines connexes à l’UQTR, stages qui devront s’inscrire dans les axes de recherche du CIEQ (www.cieq.ca). Elles visent en outre à soutenir les nouvelles étudiantes et les nouveaux étudiants qui se sont inscrits ou s’inscriront durant l’année 2022 aux programmes de cycles supérieurs en histoire (maîtrise ou doctorat) à l’UQTR et dont le projet se rattache aux axes de recherche du CIEQ. Ces axes sont :
• Les gens : les populations et leurs milieux
• Les ressources : les moyens d’existence et les stratégies
• Les régulations : la norme, l’usage et la marge
MONTANTS DES BOURSES Bourses d'initiation à la recherche du CIEQ : 5 000 $ Bourses de maîtrise du CIEQ : 10 000 $ Bourses de doctorat du CIEQ : 15 000 $ DATE DE REMISE DES DOSSIERS DE CANDIDATURE 1er juin 2022 Bourses de maîtrise et de doctorat (La date de de remise des dossiers pour les bourses d'initiation à la recherche était le 18 mars.) Pour toute information supplémentaire, communiquez avec Thierry Nootens, directeur du CIEQ-UQTR (thierry.nootens@uqtr.ca).
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Équité, diversité et inclusion
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Manifeste à propos des femmes en science, technologies, ingénierie et mathématiques
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Manifeste à propos des femmes en STIM
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En 2022, qu’en est-il de la situation des femmes dans le grand secteur des sciences, des technologies, de l'ingénierie et des mathématiques? Le Manifeste à propos des femmes en STIM, qui paraît sous la direction des professeures Louise LAFORTUNE (Sciences de l'éducation), Audrey GROLEAU (Sciences de l'éducation) et Claire Deschênes (Université Laval), est produit avec l’équipe de l’Association de la francophonie à propos des femmes en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques. Cet ouvrage collectif propose 50 textes qui s’adressent à l’ensemble de la population. Il rassemble les réflexions de 42 auteures, auteurs et regroupements issus des milieux scolaires, universitaires et privés qui s'intéressent à la question des femmes en STIM dans la francophonie canadienne. Ce Manifeste se veut positif et percutant, même s’il reste du chemin à parcourir vers l’équité et la parité. Plusieurs enjeux de taille demeurent d’actualité, comme la conciliation travail-famille et la maternité sans pénalité. Des questions d'intérêt comme l’intersectionnalité, l'équité et l’impact de la pandémie de COVID-19 sur les femmes en STIM sont également explorées. La préface a été rédigée par Janice Bailey et Fanny Eugène, du Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies (FRQNT), et la postface par Maryse Lassonde, présidente du Conseil de l’enseignement supérieur. Plus d'infos Cette publication a bénéficié d’un financement du Fonds de recherche du Québec - Nature et technologies (FRQNT) du gouvernement du Québec, du Secrétariat québécois à la condition féminine du Québec, de l’Université du Québec à Trois-Rivières, de l’Association minière du Québec ainsi que de l’AFFESTIM. Pour télécharger le Manifeste
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Des professeures de l'UQTR associées à la publication de deux ouvrages sur le vécu professionnel des femmes et leur situation dans les STIM
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Femmes en situations professionnelles : expériences cubaines et canadiennes et sa traduction espagnole, Mujeres en situaciones profesionales : experiencias cubanas y canadienses, parus sous la direction de Louise LAFORTUNE (professeure émérite, UQTR), Vilma Páez Pérez (Université de Holguín), Noëlle SORIN (UQTR), Marie-Cécile Guillot (UQAM), Élise Ross-Nadié (Université Concordia) et Marybexy Calcerrada Gutiérrez (Université de Holguín), est la réunion de perspectives cubaines et canadiennes dans une période où la pandémie rend les communications difficiles, mais tellement importantes, pour partager, se comprendre et diffuser nos vécus. Le collectif propose des textes qui, en mettant à l’honneur la grande diversité d’expériences professionnelles vécues par des femmes aux parcours et aux origines diversifiés, s’inscrivent dans un désir d’intégrer la perspective féministe intersectionnelle de manière incarnée. Les auteures abordent des thèmes comme la conciliation travail-famille, l’intersectionnalité telle que vécue en situation professionnelle, le racisme au travail, le travail de direction des femmes, les femmes dans l’enseignement supérieur et leur leadership. Les relations de genre sont pensées en prenant en considération les questions liées à la race, à la classe sociale et à la dimension culturelle. Professeures, gestionnaires, infirmières, chercheuses, travailleuses autonomes, mathématiciennes, directrices, ingénieures, fonctionnaires, les auteures habitent Holguín, Montréal, Ottawa, Régina, la ville ou la campagne et représentent plusieurs générations.
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Le Bulletin de la recherche souhaite mieux faire connaître l'impact de vos travaux de recherche auprès de la communauté universitaire, de vos partenaires et des milieux avec qui vous collaborez. Le Bulletin encourage la présentation des résultats d'études ou de projets réalisés par la communauté de recherche de l'UQTR.
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Dans un texte de 400 mots, indiquez le titre de votre projet de recherche, les objectifs poursuivis et les retombées qui en découlent, en vous appuyant sur l'une ou l'autre des cinq (5) catégories suivantes : Avancement des connaissances; Renforcement de la capacité de recherche; Connexion des savoirs et prise de décisions éclairées; Bienfaits et améliorations; Bénéfices sociaux, économiques, environnementaux et culturels. Acheminez votre texte à Bulletin.Recherche@UQTR.ca
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Les professeurs, le personnel et les étudiants aux cycles supérieurs de l’UQTR peuvent s’abonner gratuitement au magazine Affaires universitaires. Un abonnement est l’outil parfait pour rester en contact et vous tenir au fait des derniers développements sur les campus de partout au Canada. Pour s'abonner
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Planification de la recherche stratégique 2020-2025
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Élaborée conjointement avec la communauté de recherche de l’Université, la Planification de la recherche stratégique 2020-2025 de l’UQTR se concentre prioritairement autour des quatre (4) grandes orientations suivantes : Environnement et transition énergétique, Innovations technologiques, sociales et culturelles, Savoirs fondamentaux et cliniques en santé humaine, Société et santé inclusives.
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