Fin 2017, l’affaire Alexia, jeune joggeuse retrouvée assassinée dans l’Est de la France, a rappelé une affaire similaire 16 ans plus tôt qui vient d’être résolue, donnant de l’espoir à la famille de la victime. De fait, une autre jeune femme, Elodie Kulik, connaissait en janvier 2002 une mort horrible, qui a permis en France l’acceptation de la première analyse en parentèle devant les tribunaux et un changement consécutif de la législation sur cette utilisation de la trace biologique. Revenant sur l’historique et le déroulement de cette première enquête, le professeur Crispino présentera les potentiels et les limites de cette technique d’investigation scientifique.
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