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Hommage aux pionniers de l’Université du troisième âge de l’UQTR

Le vice-recteur aux études et à la formation, Sylvain Delisle, ainsi que la directrice du Service de la formation continue et de la formation hors campus (SFCFHC) et de l’Université du troisième âge, Diane Paradis, ont souligné la contribution des bénévoles et des formateurs de l’UTA au déploiement de ce service à l’occasion d’une cérémonie de reconnaissance, qui a rassemblé près de 40 convives, le 26 juin à l’atrium C.E.U. de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR).

Cinq des dix membres  du Comité de gestion de l'UTA: Paul-André Hardy, trésorier, Robert Champagne, président, Ginette Vadnais, responsable comité relations aux apprenants, Yves Beaumier, conseiller Mauricie et Jacques Rainville, responsable de la formation. Absents sur la photo: Marie-Josée Champagne, vice-présidente, Carmen Girardeau, secrétaire, Jean-Pierre Adam, conseiller recherche et développement, Jean-Guy Moreau, responsable publicité et recrutement et Gilles Mayrand, conseiller Centre-du-Québec. (Photo Annie Brien)

Cinq des dix membres du Comité de gestion de l’UTA : Paul-André Hardy, trésorier, Robert Champagne, président, Ginette Vadnais, responsable comité relations aux apprenants, Yves Beaumier, conseiller Mauricie et Jacques Rainville, responsable de la formation. Absents sur la photo : Marie-Josée Champagne, vice-présidente, Carmen Girardeau, secrétaire, Jean-Pierre Adam, conseiller recherche et développement, Jean-Guy Moreau, responsable publicité et recrutement et Gilles Mayrand, conseiller Centre-du-Québec. (Photo Annie Brien)

La formule 5 à 7 a été privilégiée afin de permettre à tous ces artisans de l’UTA de fraterniser avec des collègues ou anciens collègues ayant œuvré à l’implantation d’une université du troisième âge à l’UQTR. Près de 40 convives ont répondu à l’invitation.

Parmi ceux-ci, soulignons la présence et le travail de Louisette Lord Bolduc, présidente du comité de gestion de l’UTA de 2009 à 2010 et de Robert Champagne, président du comité de gestion de l’UTA, de 2010 à 2014. La générosité et le dévouement des membres du comité de gestion, dont le mandat de 5 ans a pris fin le 31 mai dernier, ont également été soulignés, rappelant ainsi leur généreuse collaboration au succès de l’UTA.

Mentionnons aussi la présence de plusieurs formateurs, chargés de cours et professeurs  de l’UQTR. Ceux-ci, par le biais de l’UTA, contribuent à «doter la société d’une nouvelle vague de citoyens retraités dynamiques et responsables» en offrant des formations de grande qualité à des apprenants curieux et avides de nouvelles connaissances.

Par ailleurs, M. Delisle a souligné qu’il était tout à fait logique et naturel que l’UTA relève désormais du Vice-rectorat aux études : «il y aura ainsi toujours une dimension académique très nette dans vos formations, et cela veut dire que l’on vous réserve le meilleur de ce que l’Université a à offrir !»

Mme Paradis, en tant que directrice de l’Université du troisième âge, a profité de l’occasion pour faire l’éloge de l’apprentissage tout au long de la vie. Elle a également souligné «que le rattachement de l’UTA au SFCFHC va permettre de déployer de façon plus importante l’un des volets fondamentaux de l’UQTR, celui de partager et d’évoluer avec la communauté en répondant à de nouveaux besoins de formation.»

Rappelons en terminant que le rôle des bénévoles demeure important et même indispensable pour la poursuite de la mission de l’UTA. Toutefois, le nouveau cadre organisationnel proposé par l’UQTR lui permettra de s’inscrire définitivement comme un service de l’établissement et de poursuivre sa mission en s’appuyant sur une direction et une équipe de travail solide.

«Avec l’augmentation de l’espérance de vie, les personnes de 50 ans et plus sont en pleine possession de leurs facultés au moment d’atteindre l’âge de la retraite. La société a besoin de la créativité de tous ses citoyens et l’UTA permet d’acquérir des compétences essentielles au maintien de l’autonomie et de la qualité de vie des aînés», a commenté Mme Paradis. Et si vieillir dans la dignité c’était aussi cela?