Une trentaine de hauts cadres d’universités brésiliennes et costaricaines s’inspirent de l’UQTR
Les membres de l’Institut de gestion et de leadership universitaire (IGLU) de l’Organisation universitaire interaméricaine (OUI) étaient à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) les 24 et 25 février afin d’assister à plusieurs conférences sur la gestion universitaire. La trentaine de délégués, tous des hauts cadres d’universités du Brésil et du Costa Rica, en ont aussi profité pour visiter le campus et quelques laboratoires de recherche.
Les membres de l’importante délégation ont été chaleureusement accueillis à la salle du conseil par Nadia Ghazzali, rectrice de l’UQTR, Robert W. Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement, ainsi que par Sylvain Benoit, directeur du Bureau de l’international et du recrutement (BIR). Ils ont par la suite assisté à plusieurs présentations, données par des professeurs et de hauts cadres de l’UQTR, sur des thèmes aussi variés que le développement stratégique, le système d’enseignement au Canada et au Québec, la formation en pédagogie universitaire et l’internationalisation pour n’en nommer que quelques-uns. La qualité de ces exposés a éveillé un vif intérêt de la part de nos visiteurs qui en ont profité pour poser plusieurs questions. «C’est un privilège d’avoir eu la possibilité d’échanger avec les professeurs et hauts cadres de l’UQTR. La qualité des conférences auxquels nous avons assisté nous a dressé un excellent portrait de la façon dont votre prestigieuse université fonctionne», faisait observer Mme Roxana Salazar Bonilla, directrice du campus régional de l’occident à l’Université du Costa Rica. À l’inverse, les différents membres de l’UQTR qui ont pris part à ces activités ont pu s’enrichir, à travers ces échanges, de la vision latino-américaine en matière d’éducation.
Ces événements à grand déploiement, lorsqu’ils sont couronnés de succès comme ce fut encore une fois le cas, permettent à l’UQTR d’établir des liens de confiance solides avec ses partenaires internationaux. Comme Anabel Demers, conseillère en développement international au BIR le faisait valoir, «dorénavant, lorsqu’ils penseront au Québec, que ce soit pour la mobilité étudiante ou la coopération en recherche, cette trentaine de hauts cadres d’universités d’Amérique latine auront l’UQTR en tête».