Pour une 2e année, l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et le Musée québécois de culture populaire, dans le cadre du Projet d’intervention communautaire (PICOM), présentaient, hier soir, la Nocturne de la création, au musée. Cette année, cinq départements (loisir, culture et tourisme; lettres; communication sociale; arts et sciences de l’éducation) ont uni leurs efforts pour faire de cette activité, une soirée où tout devient possible. Pour l’occasion, des performances artistiques, théâtrales, culinaires et musicales ont été réalisées par des étudiants, en lien avec les expositions et les espaces de ce lieu d’histoire et de culture.
Selon Maryse Paquin, professeure titulaire au Département d’études en loisir, culture et tourisme, le concept de Nocturne au musée est de plus en plus populaire auprès des étudiants universitaires. «Une telle activité, d’abord développée à l’Université de Grenoble Alpes depuis maintenant 13 ans, suivie de celle du Musée national des beaux-arts de Québec depuis 4 ans, ont été des sources d’inspiration. La Nocturne de la création de l’UQTR est amenée à connaître beaucoup de succès car, dès l’an prochain, elle sera ouverte aux étudiants des collèges de la Mauricie. C’est une excellente manière de leur faire découvrir le Musée québécois de culture populaire et ses formidables expositions.»
Le directeur général du Musée, Yvon Noël, s’est dit enchanté de la créativité dont font preuve les étudiants. «C’est, chaque année, une belle surprise pour toute l’équipe de découvrir les médiations proposées par les différentes équipes qui s’approprient ainsi l’espace du Musée, le temps d’une soirée.»
La 2e Nocturne de la création a été inaugurée par Robert W. Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement et Jean Asselin, président du conseil d’administration du Musée québécois de culture populaire.