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Des étudiants engagés dans notre communauté grâce aux Picom

Depuis 2006, les étudiants de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) ont la possibilité de collaborer avec un organisme à but non lucratif pour la conception et la réalisation d’un projet d’intervention dans la communauté (Picom). C’est dans un esprit de collaboration que les organismes partenaires proposent un mandat aux étudiants, leur offrant ainsi une expérience formatrice en plus de vivre un engagement social enrichissant.

À droite de la bannière, madame Sylvie Côté, coordonnatrice de la Maison Parent-Aise. Cette photo a été prise lors de la conférence de presse annonçant la nouvelle image de l'organisme, organisée par des étudiantes en communication sociale de l'UQTR

À droite de la bannière, Sylvie Côté, coordonnatrice de la Maison Parent-Aise. Cette photo a été prise lors de la conférence de presse annonçant la nouvelle image de l’organisme, organisée par des étudiantes en communication sociale de l’UQTR.

Sous la supervision d’un professeur, les étudiants appliquent les connaissances théoriques et pratiques acquises durant leur cheminement universitaire et contribuent ainsi à répondre à un besoin spécifique du milieu partenaire. Les types de projets offerts peuvent être très diversifiés. Dans le cas de la Maison Parent-Aise, située à Joliette, l’organisme voulait augmenter sa visibilité auprès de son public cible. «En tant que groupe communautaire, nous n’avons pas l’expertise à l’interne pour le volet communication et promotion. On ne dispose pas toujours du temps et des ressources nécessaires pour le faire et bien le faire. Grâce au Picom, nous avons eu la possibilité de combler ce besoin dans notre organisme», explique Sylvie Côté, coordonnatrice de la Maison Parent-Aise.

Le milieu partenaire doit être un organisme à but non lucratif préoccupé par le mieux-être de la communauté. À titre d’exemple, le Centre de femmes Parmi Elles travaille chaque jour pour améliorer les conditions de vie des femmes. En 2015, un Picom a été réalisé afin d’aider les mères à acquérir des connaissances sur le développement de leurs enfants. «Des étudiantes de psychologie et d’ergothérapie ont mis sur pied des ateliers favorisant le développement psychosocial des 3 à 5 ans. C’est grâce à leur expertise que nous avons maintenant les outils nécessaires pour permettre à nos bénévoles de refaire ces ateliers et de les animer facilement», mentionne fièrement Geneviève Legault, coordonnatrice de l’organisme.

denis benoit

Denis Benoît, directeur général de Radio Shawinigan.

Chaque année, les différents milieux expriment leur satisfaction. Denis Benoît, directeur à Radio Shawinigan, a fait appel au Picom pour une étude de marché. Il se dit très heureux de l’éthique de travail et du professionnalisme dont ont fait part des étudiants en marketing. «Moi je dis aux entreprises, si vous avez une étude à faire, faites confiance aux étudiants de l’UQTR, car ils sont bien formés et ils sont supervisés par un professionnel. C’est une étude crédible que je recommande à tous les employeurs. Vous ne serez pas déçu, bien au contraire», s’exclame-t-il.

Depuis 2006, ce sont 2500 étudiants qui ont réalisé des centaines de projets, et ce, pour 300 milieux partenaires différents. En moyenne, on compte une soixantaine de projets et 240 étudiants impliqués chaque année pour contribuer au développement de notre communauté.

Pour plus de renseignements sur les Picom, visitez le www.uqtr.ca/picom ou visitez le www.facebook.com/picomuqtr.

 Rédigé par Marie-Maude Turcotte, stagiaire en communication sociale