Mobilité internationale étudiante: une nouvelle tendance se dessine à l’UQTR

Si 2015 avait été une année record pour l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) en termes d’accueil d’étudiants internationaux inscrits dans un programme de mobilité, il semble que cette augmentation ne soit pas que passagère. En effet, pour une deuxième année consécutive, ce sont tout près de 250 étudiants internationaux issus de 14 pays qui viendront vivre une expérience scolaire et culturelle pour quelques mois dans l’université trifluvienne, avant de retourner terminer leur programme dans leur université d’origine. Une augmentation de plus de 130% depuis 2012.

Les étudiants en mobilité internationale lors de la journée d’accueil à l’UQTR.

Cette augmentation peut sembler soudaine et rapide, mais elle n’est pas le fruit du hasard, nous explique Sylvain Benoit, directeur du Bureau de l’international et du recrutement. «Depuis quelques années, l’UQTR s’est résolument engagée sur la voie de l’internationalisation en multipliant ses collaborations avec des universités de partout à travers le monde. La réputation d’excellence de notre université en matière d’enseignement et de recherche grandit constamment et ils sont de plus en plus nombreux à vouloir étudier ici.»

Comme chaque année, la France est le pays le plus représenté comptant pour 83% des étudiants en mobilité internationale, mais de plus en plus d’étudiants en provenance de pays tels que l’Allemagne, les Pays-Bas, Taiwan et la République dominicaine choisissent Trois-Rivières pour venir y étudier.

Ces 250 étudiants se sont inscrits dans 49 programmes, dont 42 au baccalauréat et 7 à la maîtrise. Les domaines les plus prisés sont les sciences de la gestion, les sciences de l’éducation et les programmes de génie.