– Dossier à lire dans le nouveau numéro de Connexion UQTR –
L’hydrogène, ce vecteur énergétique non polluant pouvant être produit à partir de sources propres et renouvelables, suscite de plus en plus d’espoir en vue de répondre aux défis environnementaux. Aujourd’hui, des pays comme le Japon et les États-Unis ont intégré l’hydrogène dans leur stratégie de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre; en parallèle, des fabricants automobiles se sont lancés dans la conception de véhicules électriques, performants et sans compromis pour les consommateurs, utilisant les piles à combustible.
Si ce type de véhicules constitue une spectaculaire avancée, une multitude d’autres applications bénéficient des technologies de l’hydrogène. À cet égard, l’équipe de chercheurs de l’Institut de recherche sur l’hydrogène (IRH), fondé en 1994 à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), pense de nouvelles applications et travaille à surmonter les barrières technologiques liées à ce vecteur énergétique. Étant la seule infrastructure du genre dans l’est du Canada, l’IRH développe depuis plus de vingt ans une expertise unique en matière de production, de stockage et d’utilisation sécuritaire de l’hydrogène en étroite collaboration avec ses partenaires universitaires, gouvernementaux et industriels à l’échelle nationale et internationale.
En plus de brosser un portrait des recherches menées à l’IRH, le dossier préparé par Connexion UQTR démystifie la place de l’hydrogène dans une économie à faible empreinte carbone, une orientation que se donne par ailleurs l’État québécois dans le cadre de la Politique énergétique du Québec 2030 lancée en avril 2016.
Pour approfondir le sujet, lisez le dossier préparé par Connexion UQTR.