S’impliquer dans la vie universitaire pour vivre ses passions
Parce que la vie universitaire est courte et qu’elle ne se résume pas qu’à une séquence de jours d’étude et de travaux, de nombreuses associations ont été mises sur pied afin de permettre aux étudiants de fraterniser, de vivre leurs passions et de découvrir de nouvelles activités. Théâtre, danse, improvisation, yoga, plein air, chant, ou encore aide humanitaire, les possibilités sont nombreuses pour avoir du plaisir entre collègues.
Plusieurs associations étaient présentes lors des activités d’accueil des nouveaux étudiants, les 1er et 2 septembre, afin de se faire connaître et de recruter de nouveaux participants. Et comme il est toujours temps de s’inscrire dans la plupart des regroupements, les étudiants peuvent écrire au vie.etudiante@uqtr.ca, afin d’être mis en contact avec les organisateurs des différentes activités.
« Le début de l’année universitaire est le meilleur moment pour joindre les différents groupes. C’est une belle façon de se faire de nouveaux amis, de se libérer du stress des études et de s’épanouir à travers des activités qui nous plaisent », explique Martin Lambert, conseiller aux activités étudiantes.
Démarrer des projets et défendre des causes
Si toutefois un étudiant de retrouve pas de regroupement correspondant à une activité ou une implication souhaitée, Martin Lambert souligne qu’un soutien peut être apporté à celles et ceux qui souhaitent prendre en charge l’organisation de nouveaux regroupements.
« Les différents regroupements dépendent de l’implication de leurs membres. C’est cyclique. Si des personnes sont intéressées à démarrer des activités qui ne sont pas offertes cette année, il nous fera plaisir de les accompagner. Notre but est qu’il y en ait pour tous les goûts, que ce soit des activités sportives, artistiques ou sociales », explique M. Lambert.
« De plus en plus de gens ont aussi envie de se rassembler autour de causes à soutenir. Que ce soit pour la défense des droits des femmes, des animaux, ou encore pour faire de la sensibilisation sur des thématiques comme les violences à caractère sexuel ou l’environnement, nous sommes là pour mettre les gens en contact et encadrer leurs activités », conclut M. Lambert.