Admise au Cercle d’excellence de l’Université du Québec
Justine Renaud, étudiante au doctorat en biologie cellulaire et moléculaire au parcours universitaire remarquable, a été admise au Cercle d’excellence de l’Université du Québec (UQ).
Ce prix prestigieux lui a été remis à l’occasion de la Rencontre des dirigeants du réseau de l’UQ, tenue le 28 août dernier, au Musée de la civilisation de Québec.
La rectrice de l’UQTR, Nadia Ghazzali, décrit Mme Renaud comme une jeune femme de très grand talent affichant un parcours académique impressionnant.
«Une université brille aussi par les réalisations de ses étudiants; de fait, c’est une grande fierté pour l’UQTR de compter Justine Renaud dans ses rangs. Au regard des notes qu’elle obtient, de ses qualités de chercheuse et de ses diverses implications aussi bien à l’Université que dans son milieu, il s’agit là d’une candidate en tous points remarquable. D’ailleurs, son dossier académique force l’admiration. En cours d’études, elle a su maintenir une moyenne qui frôle la perfection et qui la classe parmi le 1 % des meilleurs étudiants de son département, tant au premier qu’au deuxième cycle», a mentionné Mme Ghazzali au cours de son allocution.
Au seuil de sa carrière scientifique
Le rectrice de l’UQTR n’a pas manqué de souligner les qualités scientifiques de Justine Renaud. «Elle fournit les preuves indéniables d’aptitudes exceptionnelles en recherche, ainsi que l’atteste un dossier de publications déjà bien étoffé. À l’UQTR, deux fois ses prestations par affiche lui ont valu un premier prix institutionnel dans le secteur des sciences de la santé.» Plus tôt cette année, Mme Renaud a obtenu la prestigieuse bourse Vanier, octroyée par le Conseil de recherches en sciences du Canada (CRSNG). Il s’agit d’une bourse de 50 000$ par année, pour une durée de trois ans.
La recherche doctorale de Mme Renaud porte sur le potentiel neuroprotecteur du resvératrol en conditions d’hyperglycémie. Des écrits démontrent que les personnes atteintes du diabète ont plus de chances de développer des maladies neurodégénératives, telle la maladie de Parkinson. Ses travaux au Laboratoire de recherche en neurobiologie cellulaire sont dirigés par Maria-Grazia Martinoli, directrice et professeure au Département de biologie médicale.