Bruno G. Pollet siégera au conseil d’administration de l’Association canadienne de l’hydrogène et des piles à combustible

Professeur au Département de chimie, biochimie et physique de l’UQTR, Bruno G. Pollet a été élu récemment au conseil d’administration 2022-2023 de l’Association canadienne de l’hydrogène et des piles à combustible (ACHPC).

Le professeur Bruno G. Pollet

Organisme sectoriel sans but lucratif, l’ACHPC regroupe et soutient différents intervenants de l’industrie, du milieu universitaire, du gouvernement et d’autres organisations qui œuvrent dans le secteur des technologies de l’hydrogène et des piles à combustible. Cette association vise à faire connaître les avantages et à accélérer l’adoption de ces technologies, tout en contribuant à renforcer le leadership canadien en ce domaine.

Outre qu’il siégera au conseil d’administration de l’ACHPC, le professeur Pollet est membre de plusieurs organisations internationales liées notamment à l’hydrogène et la chimie. En 2020, il a également été nommé président de la Division hydrogène vert de l’Association internationale pour l’énergie hydrogène (IAHE).

Un chercheur d’avant-garde

Cumulant plus 20 années d’expérience dans le domaine de la recherche sur l’hydrogène, le professeur Pollet est reconnu mondialement pour ses travaux novateurs, notamment en ce qui concerne les piles à hydrogène, les électrolyseurs et la production d’hydrogène.

Membre de l’Institut de recherche sur l’hydrogène (IRH) de l’UQTR, Bruno G. Pollet est actuellement titulaire de la Chaire de recherche du Canada de niveau 1 sur la production d’hydrogène vert, financée par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) du Canada. Il assume également la direction de la Chaire Innergex sur la production d’hydrogène vert et du Laboratoire hydrogène vert de l’UQTR.

En plus de travailler au sein de l’IRH à titre de directeur adjoint du développement scientifique et des partenariats, le professeur Pollet est aussi impliqué dans la nouvelle unité mixte de recherche de l’UQTR et de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), dédiée au développement de matériaux et de technologies avancés au service d’une économie décarbonée.