L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) vient de poser un geste important pour maintenir une sécurité optimale sur son campus et poursuivre ses efforts de décarbonisation en faisant l’acquisition de véhicules de patrouille 100% électriques, à zéro émission (VZE).
Au cours des prochains jours, les membres de la communauté universitaire et les visiteurs pourront constater l’arrivée sur le campus de deux nouveaux véhicules Ford Mustang Mach-E qui seront utilisés par les agents du Service de la protection publique et de la santé et sécurité au travail (SPPSST). Ces véhicules ont la capacité de parcourir environ 370 kilomètres avec une seule charge, ce qui les rend fort utiles pour le personnel qui se déplace fréquemment sur le campus de Trois-Rivières ainsi que sur les campus régionaux. De plus, en ayant maintenant deux véhicules de patrouille au lieu d’un seul, le temps de réponse aux urgences sera plus rapide, ce qui maximisera la protection des membres de la communauté universitaire.
« Pour l’UQTR, la décision de choisir deux véhicules électriques est un autre geste dans notre transition vers un mode de vie plus durable. Non seulement cette démarche prouve l’engagement de l’université à réduire son impact environnemental, elle permet d’optimiser le travail de ceux et celles qui contribuent quotidiennement à créer un milieu d’études et de travail sécuritaire », souligne le recteur Christian Blanchette.
Une décision sécuritaire et économique
L’acquisition de ces véhicules a été facilitée par les subventions gouvernementales liées à la location de véhicule zéro émission (VZE), en accord avec le Plan pour une économie verte 2030 du gouvernement du Québec. Grâce à cette aide financière, l’UQTR économisera entre 2000 $ et 3000 $ par année en ayant deux véhicules électriques, plutôt qu’un seul véhicule à essence.
« C’est une fierté pour nous de prendre le virage durable tout en faisant des économies. L’aboutissement de cette démarche a été rendu possible grâce à l’expertise du Centre de gestion de l’équipement roulant (CGER) du ministère des Transports et de la Mobilité durable, ainsi que du Service de police de la Ville de Repentigny, qui nous ont accompagnés tout au long du processus », confie Pascal Daigle, directeur du SPPSST.
Autre fait à noter, les agents du Service de la protection publique et de la santé et sécurité au travail ont pu compter sur le Département d’ergothérapie afin que les nouveaux véhicules soient bien ajustés à leurs besoins.