Lyne Cloutier reçoit le prix Reconnaissance de la Société québécoise d’hypertension artérielle

Lyne Cloutier, professeure au Département des sciences infirmières de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), a obtenu le prix Reconnaissance de la Société québécoise d’hypertension artérielle (SQHA). Cette société savante, vouée à la lutte contre l’hypertension artérielle, honore cette année la professeure Cloutier pour son engagement et ses contributions scientifiques à l’accomplissement de sa mission.

Dre Ann-Monique Nuyt, néonatalogiste au CHU Ste Justine et présidente de la SQHA, Luc Poirier, ex-président la SQHA et pharmacien au CHU Laval du CHU Québec et Lyne Cloutier, professeure au Département des sciences infirmières.

La professeure Lyne Cloutier a obtenu ce prix devant ses pairs à l’occasion du congrès scientifique de la SQHA qui a eu lieu du 22 au 24 janvier à Québec. «Ce prix me touche particulièrement puisqu’il provient d’un groupe de professionnels de la santé et de chercheurs fondamentaux avec qui j’œuvre depuis plusieurs années. Des gens qui sont tous très investis dans le mieux-être des personnes atteintes d’hypertension artérielle», a-t-elle commenté.

Lyne Cloutier dirige à l’UQTR le Laboratoire de recherche en santé cardiovasculaire et métabolique. Son programme de recherche porte sur la prise en charge des personnes atteintes d’hypertension artérielle. Ses travaux sont appuyés financièrement par le Fonds de recherche du Québec – Santé et la Fondation de recherche en sciences infirmières du Québec, (FRQS-FRESIQ).

Mme Cloutier est membre du conseil d’administration de la SQHA depuis 2007. On lui doit de nombreuses contributions scientifiques qui ont pris la forme d’ouvrages spécialisés, notamment la rédaction et la révision de quatre chapitres dans les éditions françaises et anglaises du Guide thérapeutique de la SQHA. Ses résultats de recherche ont également été valorisés sous forme d’outils de références destinés aux personnes atteintes d’hypertension artérielle. On pense ici au guide La mesure de la pression artérielle à domicile.

Cette professeure, intégrée à la communauté universitaire trifluvienne depuis 1996, estime que cette reconnaissance permet du coup de mettre en lumière les travaux des membres de son laboratoire. «Six membres de mon équipe étaient présents lors du congrès. Ils y ont présenté des communications scientifiques témoignant du dynamisme de notre groupe de recherche et la place qu’occupe maintenant l’infirmière dans la recherche et la pratique en hypertension artérielle», a-t-elle conclu fièrement.

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