Université du Québec à Trois-Rivières

Des représentants du gouvernement malgache à l’UQTR

Une délégation du ministère de la Santé publique de Madagascar était de passage à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), le 22 mars, afin de visiter les départements de sciences infirmières, d’anatomie et de pratique sage-femme ainsi que le Bureau de pédagogie et de formation à distance (BPFAD). Bien que les discussions soient encore embryonnaires, tout porte à croire que l’établissement du haut savoir trifluvien ainsi que la grande île de l’océan Indien, ajouteront un nouveau partenariat à leurs carnets de projets conjoints.

Patrick Razakamananifidiny, conseiller en développement international à l'UQTR, Minarivololona Andrianasolo, coordonatrice nationale de l'Unité de gestion des projets d'appui au Secteur Santé, Hery Andriamanjato, directeur du Partenariat au Ministère de la Santé publique de Madagascar, Damoela Randriantsimaniry, secrétaire général du Ministère de la Santé publique, Daniel Mcmahon, recteur de l'UQTR, Jean de Dieu Rakotonirina, médecin, Sylvain Benoit, directeur du Bureau de l'international et du recrutement.

Patrick Razakamananifidiny, conseiller en développement international à l’UQTR, Minarivololona Andrianasolo, coordonnatrice nationale de l’Unité de gestion des projets d’appui au Secteur Santé, Hery Andriamanjato, directeur du Partenariat au ministère de la Santé publique de Madagascar, Damoela Randriantsimaniry, secrétaire général du ministère de la Santé publique, Daniel McMahon, recteur de l’UQTR, Jean de Dieu Rakotonirina, médecin, Sylvain Benoit, directeur du Bureau de l’international et du recrutement.

Madagascar, faut-il le rappeler, est dirigée par un président diplômé de l’UQTR, et vit présentement une réforme de son système de santé. Un des objectifs de cette réforme est de renforcer les capacités des hauts cadres du ministère de la Santé publique en leur offrant de la formation. En ce sens, l’expertise de l’UQTR dans les domaines de la santé et de la formation en ligne pourrait être très utile: «Les effectifs en soins de santé à Madagascar sont si peu nombreux que les cadres ne peuvent s’absenter très longtemps pour suivre une formation. C’est d’autant plus vrai si elle se déroule loin du lieu de travail. La formation en ligne telle que l’offre l’UQTR, pourrait être une solution à ce problème», expliquait Damoela Randriantsimaniry, secrétaire général du ministère de la Santé publique avant d’ajouter: «Cette formation pourrait même, éventuellement, se donner en partenariat avec le Sénégal et le Gabon, puisque nous rencontrons des défis similaires au niveau de la santé.»

Pour en savoir plus sur le même sujet:

Madagascar et l’UQTR consolident leurs relations

Une délégation de l’UQTR reçue par le président de la République de Madagascar

Visite de l’INSCAE à l’UQTR: délocalisation du MBA et redynamisation des collaborations