L’UQTR collabore avec l’Institut Périmètre pour la formation des professeurs de cégep en physique

L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a accueilli 35 enseignants du secteur collégial en physique et plusieurs de ses anciens étudiants pour une journée de formation en physique moderne et appliquée. Cette activité, organisée par les professeurs Pierre Bénard de l’UQTR et Simon Lévesque, coordonnateur régional pour le prestigieux Institut Périmètre. L’événement s’est déroulé le 17 août à l’UQTR dans le pavillon CIPP. 

L’UQTR a accueilli 35 enseignants du secteur collégial en physique et plusieurs de ses anciens étudiants pour une journée de formation en physique moderne et appliquée.

Louis Marchildon, professeur émérite en physique de l’UQTR, a présenté une introduction à la problématique de l’interprétation de la mécanique quantique. Les participants ont également eu droit à une présentation de Pascal Rhéaume, un ancien étudiant en physique informatique de l’établissement trifluvien, sur le groupe de modélisation de dispersion atmosphérique de WSP Group, formé de plusieurs anciens étudiants de physique de l’UQTR.

Les applications de la physique, dans le contexte des sciences forensiques, ont été discutées par le professeur Frank Crispino, du Département de chimie, biochimie et physique. Un étudiant au doctorat en sciences de l’énergie et des matériaux, David Durette, a discuté de l’utilisation des méthodes de simulations en Monte Carlo Quantique dans le contexte de la science des matériaux.

Les professeurs du réseau collégial ont eu droit par la suite à une formation sur les trous noirs et à la présentation d’outils pédagogiques multimédias de haut niveau élaborés par l’Institut Périmètre. Cette formation était assurée par des enseignants formés à l’Institut Périmètre.

«Nous espérons que cet événement, très bien accueilli par les participants, sera répété l’an prochain, et que nous pourrons développer d’autres activités de formation en collaboration avec l’Institut Périmètre et le Cégep de Trois-Rivières, visant en plus les enseignants au niveau secondaire», ont conclu Pierre Bénard et Simon Lévesque.