Le 22 mai dernier, les représentants des équipes engagées dans le projet IMPACT se sont réunis pour la toute première fois. Lancé en avril, ce projet vise à mobiliser les équipes de travail autour d’un objectif commun : réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) générées par leurs activités au travail.

De gauche à droite : Karine Langlais, conseillère en développement durable au Service du développement humain et organisationnel et en charge du projet, Nicholas Fecteau, professionnel de recherche à la Chaire de recherche municipale pour les villes durables, Geneviève Bergeron, professeure titulaire et responsable du programme de doctorat au Département des sciences de l’éducation, Félix Dupont, conseiller en gestion des ressources humaines au Service du développement humain et organisationnel, Daniel Bégin, agent de recherche à l’Institut d’innovations en écomatériaux, écoproduits et écoénergies (I2E3) et Benoît Tremblay, chargé de projets au Service de la gestion tactique et de la logistique institutionnelle.
Le projet IMPACT
Le projet IMPACT a été lancé dans l’optique que chaque service et chaque département peut contribuer à la carboneutralité à travers ses activités quotidiennes. L’objectif est d’accompagner les équipes qui souhaitent réduire leur empreinte carbone en les guidant dans l’élaboration d’un plan d’action concret et adapté à leur réalité de travail.
L’importance du projet
En cohérence avec l’engagement de la carboneutralité (2035) de l’UQTR, ce projet permet de favoriser une prise de conscience des émissions liées aux activités réalisées par les services et les départements, d’accompagner la communauté à tendre vers la carboneutralité en plus de créer un mouvement collectif par le rayonnement des membres de la communauté. Nous sommes convaincues que les comportements des pairs influencent nos choix et nos actions. En proposant ce projet d’accompagnement dans l’action vers la carboneutralité aux services et départements, nous prenons le pari de générer un mouvement de changement à travers la communauté universitaire. La création de cohortes de participants au projet pourra créer un effet boule de neige et mobiliser de nouveaux acteurs dans une étape subséquente du projet (2026-2027), en nous amenant collectivement à réduire les émissions de GES de nos activités.
Une démarche engageante
Déployé sur une période d’environ huit mois, le projet se déroule en plusieurs étapes. Les premières rencontres ont d’ailleurs connu de belles réflexions : « À partir du moment où l’on prend conscience de l’impact de nos activités, un sentiment de responsabilité émerge. Assez vite, les idées pour ajuster nos façons de faire apparaissent aussi », souligne Geneviève Bergeron.
La mobilisation est en marche et ce n’est qu’un début ! Nous avons déjà hâte de vous partager les actions qui seront mises en place.
L’équipe en développement durable