Université du Québec à Trois-Rivières

Les travaux sont complétés sur l’avenue Gilles-Boulet

Les usagers du réseau routier du campus de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) vont enfin pouvoir accéder à l’avenue Gilles-Boulet, face aux pavillons Albert-Tessier, Ringuet, Tapan-K.-Bose et Desjardins-Hydro-Québec. Cette portion de l’artère principale, fermée à toute circulation depuis le 4 juillet, est maintenant rouverte.

Travaux_Gilles-Boulet

La nouvelle chaussée permet d’élargir les plates-bandes. Ces nouveaux espaces verts contribueront à réduire les nombreux îlots de chaleur engendrés par les stationnements et les bâtiments.

Les membres de la communauté universitaire découvriront un tout nouvel aménagement routier, qui mise notamment sur une chaussée plus étroite. Pourquoi? «Nous avons opté pour cette approche afin de ralentir la circulation automobile et dans le but de diminuer la présence de bon nombre d’automobilistes qui empruntent cette voie, non pas pour se rendre à l’université, mais pour pour éviter des feux de circulation sur le boulevard des Forges», explique Philippe Duchesne, technicien en bâtiments et travaux publics au Service de l’équipement de l’UQTR.

Cette nouvelle configuration, remplaçant la chaussée originale réalisée en 1970, vise donc à mieux protéger les piétons, très nombreux à traverser l’avenue dans ce secteur. la traverse piétonnière a d’ailleurs été réaménagée face à l’entrée principale, pavillon Albert-Tessier. Une clôture a aussi été ajoutée pour mieux diriger les piétons sur la plate-bande mitoyenne.

La nouvelle chaussée permet d’élargir les plates-bandes. Ces nouveaux espaces verts contribueront à réduire les nombreux îlots de chaleur engendrés par les stationnements et les bâtiments en béton, reflet de la mode architecturale de la Révolution tranquille. On y dénombrera 260 arbres et arbustes ainsi que 355 plantes vivaces et graminées.

Fait à noter, la rue située entre le CAPS Léopold-Gagnon et la pavillon de la Santé redeviendra piétonnière.

Cet important chantier, amorcé au début de juillet, aura donc été complété selon l’échéancier prévu, soit juste à temps pour la période fort achalandée de la rentrée universitaire automnale.