Université du Québec à Trois-Rivières

Déjà 10 chandelles pour les Picom de l’UQTR

L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a souligné aujourd’hui le 10e anniversaire de ses projets d’intervention dans la communauté (Picom), une initiative originale qui permet de mettre l’expertise universitaire au service de la collectivité.

Céline Lemay, coordonnatrice des Picom, Danielle St-Amand, directrice du Service du développement institutionnel, Rémi Tremblay, fondateur des PICOM et retraité de l’UQTR, Daniel McMahan, recteur Laurence Verreault, étudiante en communication sociale qui a déjà réalisé un PICOM, Vanessa Landry, coordonnatrice de projets au ROBSM (Regroupement des organismes de base en santé mentale 04-17), diplômée de l’UQTR qui a déjà réalisé un Picom et qui a trouvé un emploi à cet endroit grâce au Picom, Robert W. Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement et Mariane Gazaille, professeure et membre du comité pédagogique des Picom.

Céline Lemay, coordonnatrice des Picom, Danielle St-Amand, directrice du Service du développement institutionnel, Rémi Tremblay, fondateur des Picom et retraité de l’UQTR, Daniel McMahon, recteur, Laurence Verreault, étudiante en communication sociale qui a déjà réalisé un Picom, Vanessa Landry, coordonnatrice de projets au ROBSM (Regroupement des organismes de base en santé mentale 04-17), diplômée de l’UQTR qui a déjà réalisé un Picom et qui a trouvé un emploi à cet endroit grâce au Picom, Robert W. Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement et Mariane Gazaille, professeure et membre du comité pédagogique des Picom.

Effectué à l’intérieur d’un cours, le Picom est une activité pédagogique grâce à laquelle une équipe d’étudiants – pouvant provenir de diverses disciplines – réalise un projet pour un organisme du milieu, sous l’encadrement d’un professeur ou chargé de cours de l’UQTR.

Depuis la création des Picom en 2006, 425 projets ont été effectués en collaboration avec 300 organismes participants. Quelque 2500 étudiants de l’UQTR ont travaillé plus de 100 000 heures pour ces Picom, avec la participation d’une centaine de professeurs et chargés de cours. Les projets ont été menés principalement en Mauricie et au Centre-du-Québec, et parfois ailleurs en province. Certains Picom ont aussi permis la concrétisation de projets humanitaires à l’extérieur du pays.

«Nous sommes fiers de célébrer les 10 ans de cette formule pédagogique novatrice, qui profite à la fois aux organismes partenaires, aux étudiants ainsi qu’aux professeurs et chargés de cours. Le succès remporté par les Picom demeure un excellent exemple des retombées positives qu’engendre la présence de l’UQTR dans son milieu. Ces projets d’intervention permettent de démocratiser le savoir universitaire et de répondre à des besoins concrets de notre société, tout en offrant une expérience unique aux participants. Merci et bravo à toutes les personnes qui ont contribué à ces réalisations», a lancé M. Daniel McMahon, recteur de l’UQTR.

Des projets diversifiés

Au fil des ans, des centaines de Picom ont été réalisés dans des domaines variés : développement d’un produit touristique, guide adapté pour les personnes ayant une déficience intellectuelle, étude de coûts de revient, création d’outils promotionnels, plans de conservation d’habitats fauniques, études de marché, organisation d’événements, planification stratégique, exposition en ligne pour sensibiliser les jeunes à l’histoire de leur région, ateliers de santé, activités éducatives, plans de paysage, projets artistiques, applications mobiles, plans de communication, formation de bénévoles, et plus encore.

Les organisations ayant pris part à ces Picom ont pu bénéficier de l’expertise et de l’aide d’étudiants et enseignants de l’UQTR. À l’issue des projets, la vaste majorité des organismes partenaires se sont dits très satisfaits de leur expérience. Ils ont apprécié tout particulièrement les nouvelles idées, l’énergie et le professionnalisme des étudiants, ainsi que les échanges avec ces derniers.

Une expérience enrichissante

«Participer à un Picom a permis à des milliers d’étudiants d’acquérir une précieuse expérience professionnelle dans leur domaine d’études. Ils ont également tiré avantage du savoir-faire des organisations partenaires et ont pu vivre l’engagement social. Ils ont mis leurs connaissances théoriques en pratique, expérimenté le travail en équipe et élargi leur réseau de contacts», a souligné M. Robert W. Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement et vice-recteur intérimaire aux études et à la formation de l’UQTR.

Les nombreux étudiants ayant réalisé un Picom s’entendent pour recommander ce type d’apprentissage. Ils se disent fiers de leurs accomplissements et d’avoir pu redonner à la communauté, en aidant concrètement un organisme. Grâce à leur projet, ils ont relevé de nouveaux défis et se sentent mieux outillés pour le marché du travail. Ils qualifient leur expérience d’unique et d’enrichissante.

Les Picom ont également profité aux professeurs et chargés de cours responsables de l’encadrement des étudiants participants. Les projets d’intervention dans la communauté ont fourni aux universitaires un accès privilégié à des organismes du milieu, contribuant à l’enrichissement de leur enseignement et de leurs activités de recherche.

Les Picom

Pour de plus amples renseignements au sujet des projets d’intervention dans la communauté de l’Université du Québec à Trois-Rivières, il suffit de consulter le www.uqtr.ca/picom. Rappelons que la formule des Picom a été lancée à l’UQTR avec l’appui financier de la Fondation de la famille J. W. McConnell.